Les fidèles de la MEF Int Bénin se réjouissent pour l’ouverture du procès en appel sur le comportement des pasteurs qui ont décidé d’envoyer arbitrairement à la retraite le fondateur de l’Église dont ils veulent se servir à la pelle, les ressources.
Et pour atteindre ce vil dessein, ils étaient prêts à tout : tuer s’il le faut toute personne qui osera se mettre sur le chemin de réalisation de leur forfaiture.
Sinon de quel laboratoire ont-ils sorti cette affaire tirée par les cheveux de convier à une retraite forcée celui dont la mission a été de les former, consacrer, engendrer dans la foi du Seigneur et dont le rôle aujourd’hui est de signer la fin de leur sacerdoce conformément aux textes profanes qui régissent la Mission ?
Les défenseurs du droit humain devront œuvrer à décourager ces genres d’imposteurs qui ne lésinent sur rien pour semer la discorde, la mort et le péché partout où veut prospérer l’évangile. Sinon comment comprendre qu’ils rêvent d’arracher une Église à son fondateur, celui-là même que Dieu a inspiré de porter sa parole en se constituant comme bouclier contre les épigones de Belzebuth.
Et pour justifier leur forfaiture, ils brandissent la preuve même de leur mauvaise foi avérée en parlant d’un article du règlement intérieur de la Mission sur l’âge à la retraite (70 ans). Alors que cette disposition qui ne s’applique pas au Pasteur fondateur mais plus aux ouvriers de cette mission. Pour preuve, la maison mère du Nigéria de laquelle la Mission tire les bases de ses fondamentaux, continue d’être présidée par le Pasteur de plus de 87 ans alors même qu’il n’est que le successeur du feu le Pasteur fondateur de la MEF Int.
C’est pourquoi il urge de décourager les imposteurs afin qu’ils ne suscitent pas des vocations dans la Chrétienté béninoise.
Aboubakar Takou