Ne lui demandez pas pourquoi tous les autres enfants du vieux Yorouba de Yarakinnin, papa Assouma, sont tous comme lui clairs pendant que son « fils », Alfa Kamarou dit Alfa Yarakinnin est le seul de teint noir ébène ?
Il (Alfa Yarakinnin) vous dira qu’il est resté au soleil plus que tous les autres. Mais l’histoire rappelle qu’il n’est pas du vieux Assouma. On l’a juste remis au pauvre.
Pour preuve, comme c’est d’ailleurs les comportements de ces types d’enfants, alors qu’il se dit Alfa et qu’une femme qui croyait bénéficier de ses pouvoirs mystiques d’Alfa pour se rapprocher davantage de son époux, le sollicitait, il a fait tuer l’époux. Il avait remis à cette dame qu’il convoitait toujours en érection même en pleine prière, une poudre pour tuer le mari au lieu de le rendre favorable à cette femme.
Il y passera plus de 04 années derrière les barreaux d’une prison de haute sécurité pour ne pas échapper à sa peine bien méritée.
Voici celui qui insulte aujourd’hui l’honorable Rachidi Gbadamassi parce qu’il a, suivant les dogmes de la religion, remonté les bretelles à son jeune frère Nourou Dine Saka Saley qui se perdait en se moquant du chef de l’Etat Patrice Talon.
Que fait un musulman devant l’autorité établie par Dieu si ce n’est l’obéissance? Que pouvait donc faire le député Rachidi Gbadamassi face aux derrières païens de son autre frère en Islam Nourou Dine Saka Saley ?
On ne se moque pas chez le musulman, de l’autorité établie par Dieu. Et c’est ce que le député de la 8ème circonscription électorale s’est attelé à démontrer à Nourou Dine Saka Saley dont il traitait, à juste titre, son éducation qui laisse à désirer.
Gbadamassi n’a rien dit de grave. Normal qu’un soi-disant musulman élevé par l’ami de son père qu’il croit être le sien, vienne insulter le député. Mieux, sans chercher à savoir pourquoi le président Talon a préféré tapoter l’épaule de son ami au lieu de lui donner la main, Alfa Kamarou de Yarakinnin et ses amis, ont commencé par bander devant la vidéo sans son, du passage du président.
Évidemment, ils ne savaient pas, du dire de ceux qui étaient à côté, que le président Talon disait à son passage à Gbadamassi : le grand des grands. Une taquinerie qu’on ne donne qu’à un ami.
Et qu’avec les habitudes héritées de la Covid-19, les salutations palmaires ne sont pas entièrement revenues dans nos mœurs. Patrice Talon ne pouvait donc pas donner les mains à tous ceux qui étaient à la première loge.
Gbadamassi reste le seul à ne laisser personne s’attaquer à son leader. Normal donc qu’il soit le souffre-douleur de certains qui n’ont pas encore compris que le président Talon est celui de tous les Béninois et travaille pour le pays.
Que les anciens voleurs habitués à la facilité comprennent qu’ils ne sont plus les seuls à être confinés dans le strict minimum de ce qu’on a produit. Même Aboubakar Takou souffre. Point n’est donc besoin de faire de sa situation une MALADIE incurable.
On souffre tous. Gbadamassi compris. Lui a juste la lucidité de comprendre que tant que le pays se développe, il faut soutenir le président Talon dans ses réformes salvatrices pour le pays.
Ce n’est pas le cas de moi Aboubakar Takou. Je n’aime pas Patrice Talon. Il ne nous permet pas de voler le pays. Je le déteste même. Moi je ne suis pas Rachidi Gbadamassi. On n’est donc nombreux à souffrir. Pour autant, restons un peu lucides.
