Découverte d’une mine d’informations stockées dans son téléphone : La grosse erreur de Sossoukpè qui va perdre tous ses complices

Souvent présenté comme un as de l’information, capable de dénicher les moindres secrets, Hugues Comlan Sossoukpè aurait commis une erreur fatale qui pourrait bien lui coûter cher, et entraîner dans sa chute tous ceux qui l’alimentaient en renseignements. L’homme, récemment appréhendé, avait en sa possession une quantité astronomique d’informations sensibles stockées sur son téléphone portable. Et c’est précisément ce téléphone qui risque de devenir la pierre angulaire de sa perte.
Selon nos sources, l’appareil contiendrait des coordonnées de militaires et de policiers qui lui auraient fourni des informations classifiées. Une révélation qui mettrait en lumière un vaste réseau de complicités au sein des forces de sécurité.

L’erreur fatale : Tout garder au lieu de supprimer
L’erreur majeure de Sossoukpè, connu comme un « génie » de l’information, est d’avoir tout conservé. Au lieu de le supprimer, il a voulu tout garder. Contrairement à d’autres, qui prennent soin d’effacer les traces de leurs activités comme l’enseignement le métier de journalisme, Sossoukpè aurait accumulé un tas d’informations sur son téléphone, des informations compromettantes qui vont désormais servir de preuves accablantes contre lui et ses prétendus complices.

Le procès : Un révélateur sans pitié
L’ouverture du procès de Sossoukpè est très attendue. Ce procès s’annonce comme un véritable déballage, où chaque information, chaque contact révélé par le téléphone, pourra être utilisé contre lui. C’est le procès qui va l’amener à tout perdre, en référence à la capacité de ce procès à exposer l’intégralité de son réseau. Avec ce « réseau d’informations » en possession de la justice, tout semble s’être effondré autour de lui.
La fouillé minutieuse effectuée pourra permettre une enquête approfondie et d’avoir des données d’une importance capitale. Et c’est la chute de Sossoukpè au regard des charges déjà retenues contre lui la Criet. Une leçon pour d’autres « génies » de l’information qui espéreraient s’inscrire dans sa dynamique à jouer des informations sensibles de leur pays. Après Frère Hounvi, le CQ, c’est le tour de Sossoukpè. A suivre !