(Réactions émues et hommages internationaux)
Le pape François est décédé le lundi 21 avril 2025, à l’âge de 88 ans, au Vatican, après un mois d’hospitalisation pour une pneumonie bilatérale. L’annonce de sa mort a déclenché une vague d’hommages à travers le monde, témoignant de l’impact profond de son pontificat.Réactions Internationales:En Italie, la Première ministre Giorgia Meloni a exprimé sa « profonde affliction », saluant un « grand homme » et soulignant son appel à un monde plus juste et pacifique. En Argentine, son pays natal, le président Javier Milei a rendu hommage à sa « bonté » et sa « sagesse », malgré leurs différences passées. Sept jours de deuil national ont été décrétés.
Le président argentin a fait l’éloge de la « lutte inlassable » du pape pour la protection de la vie dès la conception, le dialogue interreligieux et le rapprochement des jeunes à la spiritualité.Au Moyen-Orient, le président israélien Isaac Herzog a salué un « homme de foi profonde et de compassion sans fin », soulignant son rôle dans le renforcement des liens avec le monde juif. Le Liban a pleuré un « ami cher » et un « fervent soutien », tandis que le président palestinien Mahmoud Abbas a salué un « ami fidèle du peuple palestinien ».
En France, le président Emmanuel Macron a rendu hommage à un pape « aux côtés des plus vulnérables », soulignant son combat pour la justice et l’humanité. La Grande Mosquée de Paris a salué sa contribution au dialogue interreligieux et son « humanité ».
En Europe, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a souligné son « humilité » et son « amour pour les plus démunis ». Le chancelier allemand désigné Friedrich Merz a salué son engagement envers les « plus vulnérables ». Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a loué son engagement envers les plus vulnérables.
En Asie, le Premier ministre indien Narendra Modi a salué un « modèle de compassion, d’humilité et de courage spirituel ». Aux États-Unis, la Maison Blanche et l’ancien président Joe Biden ont rendu hommage à un « dirigeant important » et un « pape du peuple ».
La Russie, par la voix de Vladimir Poutine, a salué un « défenseur de l’humanisme et de la justice », soulignant son rôle dans le dialogue interreligieux. L’ONU, par la voix d’Antonio Guterres, a salué un « messager d’espoir, d’humilité et d’humanité », et l’ONU Climat a rendu hommage à un « champion inébranlable de l’action en faveur du climat ».
Le pape François laisse derrière lui un héritage de compassion, de dialogue et d’engagement envers les plus vulnérables, marquant son pontificat comme une ère de rapprochement et de réforme.
