Le Bénin se dresse aujourd’hui comme un phare de bonne gouvernance sur le continent africain, et au cœur de cette réussite rayonne la figure de son président, Patrice Talon. Depuis son arrivée au pouvoir en 2016, il a su transformer le Bénin, le propulsant sur la scène internationale non seulement comme un pays en plein essor, mais aussi comme le berceau d’un leadership exceptionnel, admiré et même envié par de nombreuses nations africaines.
Ce sentiment de fierté est palpable au Bénin, et il est justifié. Nous avons la chance inouïe de bénéficier d’un modèle présidentiel que beaucoup de nos voisins rêvent d’avoir. Car son pragmatisme et son refus du clientélisme fascinent. Talon n’est plus seulement le président des Béninois, il est devenu une source d’inspiration, un exemple de ce qu’une gouvernance rigoureuse et visionnaire peut accomplir. Des dirigeants, des universitaires, et de simples citoyens à travers l’Afrique regardent vers Cotonou, désireux de s’inspirer de la « méthode Talon ».
Un bilan élogieux, atout d’une admiration continentale
L’admiration que suscite le président Talon n’est pas le fruit du hasard, mais bien le résultat tangible d’une gouvernance audacieuse et efficace. Depuis 2016, de nombreux atouts de sa politique ont contribué à bâtir cette réputation enviable à travers des réformes dans différents domaines :
- La modernisation des infrastructures : Le Bénin a connu une transformation spectaculaire de ses infrastructures routières, portuaires et aéroportuaires. Des projets emblématiques comme l’élargissement et la modernisation de l’aéroport de Cotonou ou la construction de nouvelles routes nationales ont fluidifié les échanges et amélioré la connectivité, créant un environnement propice aux affaires et au bien-être des populations. Il faut signaler la construction de nombreuses cités administratives, d’affaires et autres. Ces réalisations sont souvent citées en exemple lors de forums économiques régionaux, où des pays expriment leur souhait d’adopter des stratégies similaires.
- L’assainissement des finances publiques et la lutte contre la corruption : L’une des premières mesures fortes du président Talon a été de s’attaquer de front à la corruption et d’assainir les finances de l’État. Cette rigueur a permis de restaurer la confiance des investisseurs et d’optimiser l’utilisation des ressources publiques. Des délégations de pays voisins sont venues étudier le modèle béninois pour s’inspirer de ses méthodes de gestion rigoureuse, conscientes que la transparence est la clé du développement. Et en cela, la création de la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (CRIET), récupérant des centaines de milliards FCFA de biens mal acquis, y a beaucoup contribué.
- Le développement agricole et la transformation structurelle de l’économie : La diversification de l’économie béninoise, notamment à travers le renforcement du secteur agricole et la valorisation des filières comme le coton (dont le Bénin est un producteur majeur), est un autre pilier de sa gouvernance. L’approche de Talon, axée sur la productivité et la transformation locale, est perçue comme une voie à suivre pour de nombreux pays africains désireux de réduire leur dépendance aux matières premières brutes. On entend souvent dire dans des cercles économiques africains : « Si le Bénin a réussi à relancer son agriculture, pourquoi pas nous ? » A tout cela, il ne faut pas occulter la GDIZ, cette zone économique de transformation* des matières premières brutes, qui ne cesse de faire des émules à travers l’Afrique. Elle est aujoiurd’hui aussi visitée par les étrangers que la Place de l’Amazone.
- Le leadership régional et l’attractivité du Bénin : Le Bénin, sous la houlette de Patrice Talon, est devenu un acteur incontournable sur la scène régionale. Sa capacité à attirer des investissements étrangers, à organiser des sommets internationaux et à maintenir une stabilité politique dans un contexte régional parfois volatil, fait du Bénin un partenaire privilégié. Des chefs d’État africains saluent régulièrement la vision et la détermination de Patrice Talon, voyant en lui un « grand frère » ou un « mentor » dont l’expérience est précieuse.
En somme, Patrice Talon a hissé le Bénin au rang de laboratoire de la gouvernance africaine. Si les défis persistent, son héritage réside dans cette fierté panafricaine qu’il incarne : celle d’un continent capable de produire ses propres solutions. Comme le résume une étudiante de l’Université d’Abomey-Calavi, « Pour ma part, je suis fière d’être née ici. Talon nous rappelle que l’Afrique n’a pas besoin de sauveurs étrangers, mais de visionnaires locaux ».
Le Bénin n’est plus simplement un petit pays d’Afrique de l’Ouest ; il est un laboratoire de réformes réussies, un modèle de résilience et de progrès, incarné par un leader d’exception.
Worou MERE
