*Pendant que le Niger taxe les goûters, le Bénin de Talon récolte les fruits de ses réformes.
Alors que le Bénin s’impose chaque jour un peu plus comme le nouveau pôle de stabilité et de croissance en Afrique de l’Ouest, de l’autre côté de la frontière, le spectacle devient ubuesque. Dans un Niger asphyxié par une inflation galopante et une insécurité alimentaire chronique, les autorités ont trouvé la solution miracle pour sauver la patrie : taxer les écoliers.
Le « geste » qui fait mal au ventre
« 100 francs pour la patrie, un geste pour l’avenir ». Derrière ce slogan qui se veut mobilisateur, se cache une réalité sordide. On demande à des enfants de moins de 18 ans, dont beaucoup souffrent déjà de malnutrition, de piocher dans le peu qu’ils ont pour financer un État en panne. L’État, censé protéger et nourrir sa jeunesse, devient le prédateur de leur argent de poche.
Pendant ce temps, à Niamey, certains « panafricanistes » de luxe, passeport diplomatique en poche, pérorent sur la souveraineté tout en se nourrissant du sacrifice de ces gamins. Ces mêmes voix tentent aujourd’hui de donner des leçons d’économie au Bénin.
Le Bénin : La force du concret contre les mirages de l’IA
Le contraste avec le Bénin du Président Patrice Talon est saisissant, presque cruel pour les idéologues de salon. Là où certains cherchent le salut dans des alliances russes douteuses ou des manipulations par intelligence artificielle pour simuler un soutien populaire, le Bénin a choisi la voie de la rigueur et de la transformation structurelle.
Grâce aux réformes audacieuses entamées depuis 2016, le Bénin ne demande pas l’aumône à ses enfants. Au contraire, il investit dans leur futur :
Modernisation des infrastructures : Des routes et des ponts qui désenclavent le pays.
Énergie et eau : Des projets concrets qui améliorent le quotidien sans slogans creux.
Éducation de qualité : Loin des vidéos truquées, le Bénin mise sur l’esprit critique pour que ses citoyens ne soient plus manipulables.
Vouloir « nigériser » le Bénin ?
La tentative de certains mouvements de plonger le Bénin dans le même chaos idéologique que ses voisins se heurte à un mur : celui des résultats. Les Béninois, témoins de l’insécurité alimentaire et de la cherté de la vie qui ravagent les pays ayant opté pour le populisme, ne sont pas dupes.
Comme le souligne la vidéo qui circule sur les réseaux sociaux : manipuler un peuple éduqué et qui voit son pays se développer est une mission impossible. Pendant que le Niger s’enlise dans la crise, le Bénin, sous le leadership de Talon, compte ses nouveaux investisseurs et ses points de croissance. Le « développement » béninois se construit sur la dignité et le travail.
À chacun sa route.
WM



