En appelant comme à ses nouvelles habitudes au début de cette deuxième phase de sa tournée de compte rendu, les Béninois à dénoncer tout acte de mauvaise gouvernance comme ils le font pour la liberté et la démocratie, le président Talon vient de citer à Ouassa-Péhunco, cet exemple.
Il a instruit qu’on saute la barrière de rançonnement des transporteurs à l’entrée de la ville de Parakou.
Pour Patrice Talon, qui s’est renseigné sur la répartition des redevances perçues, ni la mairie de Parakou, ni les syndicats n’a droit de percevoir cette double taxe sur les pauvres transporteurs.
C’est à ces types de prise de position que le leader de la Rupture, invite les Béninois à travailler pour la promotion de la bonne gouvernance.
Notons qu’il a fait la même remarque tout à l’heure à Sinendé quand il a regretté que l’expression de la corruption tout gabarit défié, de la centrale de Maria-Gléta où 44 milliards de nos francs ont été engloutis dans de vieux moteurs d’avions de chasse, sans possibilité d’allumer la plus petite bougie, n’ait suscité la moindre grogne au niveau des populations.