Montée pour gruger les pauvres populations, la société Suprem Planurba n’a pas fini de révéler tous faux dossiers dans lesquelles ses cadres trempent. Les magouilles de Suprem Planurba sont comme des poupées russes qui s’emboitent les unes dans les autres.
A peine le pot-aux-roses mis à jour que déjà d’autres dossiers encore plus fumants s’échappent des larges narines des criminels du foncier qu’ils s’évertuent à boucher coute que coute pour empêcher les fumerolles d’en sortir. Mais c’est peine perdu. Car comme on le dit, un malheur ne vient jamais seul. Une agence immobilière qui se dit pourtant en règle a participé a escroqué au nez et à la barbe de tous sans craindre la justice béninoise les populations qui dans un souci d’avoir un toit se sont laissés berner.
Dans ce même registre de crime foncier, Suprem Planurba a participé au détournement de fonds et de biens privés qui viennent de passer au goût du jour. En effet, après le décès de feu Léandre Gnancadja qui possède plusieurs biens immobiliers et des fonds, Suprem Planurba s’est associé avec une partie des enfants et des oncles et tantes pour vendre le bien de succession avec de faux actes de propriété. Des hectares de terre qui devaient faire objet de partage entre tous les enfants ont été bradés et cédés pour devenir aujourd’hui une contention qui pend au nez de la justice. La suite du dossier avec plus de révélations dans les parutions à venir
Arnaud KOUMONDJI