(Bientôt des poursuites engagées contre ces activistes)
On ne saurait empêcher le singe de se gratter, dit-on. Même si vous l’empêchez, ce ne sera que pour un temps. C’est ce qui se passe avec les activistes engagés par « La Sentinelle Républicaine » dans le cadre de ses activités pour les législatives 2023 qui sont en train de faire circuler un supposé détournement de frais de campagne par les 9 membres de la Sentinelle Républicaine, dont principalement Frédéric Béhanzin et Fred Houénou.
Selon ces accusateurs qui font circuler de fausses informations, on devrait leur payer 200. 000 francs CFA pour les deux semaines de travail au profit de ces soldats du parti du cheval cabré dans leur mission pour le Bloc républicain.
Or, pour ce travail, ce sont trois groupes d’activistes qui ont travaillé et chaque groupe a été payé à 100.000 Fcfa le mois par activiste. Une rémunération connue de tous les groupes y compris ses soi-disant activistes qui font économie de vérité. Donc, on ne saurait comprendre que des gens qui ont travaillé au maximum deux semaines puissent réclamer 200.000 Fcfa. C’est du vol ! Il faut être escroc pour le réclamer. Car s’ils étaient conséquents, ils auraient dû faire la comparaison avec les groupes pour montrer qu’ils ont été lésés. Mais cela n’a pas été le cas. Ils ont juste préféré tirer le drap de leur côté. 2 semaines de travail pour 200.000Fcfa ? Et que diront les autres groupes où tout le monde sait que c’est 100.000FCfa le mois ? Ils auraient même dû remercier Frédéric Béhanzin et les siens qui leur ont donné la paie d’un mois entier, soit 100.000 Fcfa, au lieu des deux semaines de travail fait.
Au total, les soi-disant activistes qui sont en train de salir l’image du Br et des cadres du parti dirigé par le Sgn Abdoulaye Bio Tchané, sont des faux. Des gens décidés à traîner dans la boue l’image du parti du cheval cabré dont les responsables doivent désormais se méfier et les laisser dans leur indigence.
De toute façon, de son côté, Frédéric Béhanzin apprête déjà ses dossiers pour les assigner. Ce n’est pas parce qu’on est activiste qu’on est au-dessus de la loi pour flétrir l’image d’un honnête citoyen.