(Une plongée fascinante dans l’histoire de Joseph Djogbénou)
L’auteur a encore fait parler sa plume. Cette fois-ci, Léon Zoha nous plonge dans l’univers d’une vie pleine d’enseignements. La Contrebasse Joseph Djogbénou est le nouveau chef-d’œuvre littéraire de l’acteur culturel, aujourd’hui administrateur des ressources humaines aux États-Unis, Léon Zoha.
Léon Zoha n’est pas un inconnu du grand public. Sa réputation précède son nom et la jouissance que procure sa plume en dit long sur la teneur de ses idées. La Contrebasse Joseph Djogbénou, ce nouveau livre préfacé par Edmé Soho, professeur agrégé en mathématiques au centre universitaire de New York, retrace la vie et la formation d’un homme d’intérêt, homme politique et personnage unique.
La contrebasse Joseph Djogbénou, c’est donc l’histoire de cet homme dont le parcours de la société civile à la politique est fort édifiant. Avocat de formation, Joseph Djogbénou, au centre de cette œuvre littéraire, est peint comme l’homme de la Providence. À l’instar du célèbre écrivain français Émile Zola avec Germinal, Léon Zoha manie avec dextérité les mots pour décrire dans son œuvre la vie réelle de Joseph Djogbénou.
Dans ce livre, il présente aux lecteurs les tumultes et les obstacles franchis par Joseph Djogbénou dans sa marche vers le sommet. Entre curieux destin et ascension fulgurante, Léon Zoha caricature sa trajectoire qui rencontre le peuple béninois dans un style littéraire unique. Un style où tout le monde pourra se faire son opinion de cet homme, soit-il serviteur du peuple ou opportuniste?
Plus qu’une simple œuvre littéraire, La Contrebasse Joseph Djogbénou est une compilation approfondie du rapport entre la démocratie et la notion du peuple. Le génie de l’auteur invite tout un chacun à amorcer une progression effective de la politique de développement plutôt que de s’orienter vers la peur et la pression de l’argent.
La Contrebasse Joseph Djogbénou qui est en fin d’édition, sera bientôt disponible dans les librairies et kiosques. Et telle une source d’eau de sagesse, chacun pourrait s’y abreuver sans modération.
Nel Charbel KOFFI