(C’est sa rigueur dans le travail qui fâche des truands)
Les Bagnoles Motors est un grand groupe africain dont la réputation fascine le marché européen. On ne construit pas une structure de cette taille pour accepter que le comportement de quelques collaborateurs indélicats veuillent salir 30 ans de labeur couronnés de succès.
C’est donc cette vigilance quotidienne du label LBM qui vaut au PDG Valery Alapini l’aigreur et la bêtise aussi bien de certains de ses collaborateurs que de leurs complices à la fraude.
Pour sa réputation, LBM a toujours insisté pour que les pièces de rechange de ses livraisons (voitures) proviennent d’Europe ou, dans une certaine mesure, d’Afrique du Sud. Mais pour frauder, certains de ces petits cadres retardent les procédures de commande sur l’Europe afin d’obliger la maison, pour rester dans les délais, à accepter des propositions locales. C’est-à-dire prendre certaines pièces auprès de prestataires et de vendeurs locaux pour que lesdites pièces respectent les normes européennes.
Mais comme on est faux dans le pays, appuyés par des cadres corrompus et indélicats, certains prestataires de mauvaise foi profitent pour glisser des produits de gamme inférieure avec une surfacturation excessive pour faire croire à la qualité.
Mais l’opérateur économique veille au grain, Valery Alapini a constaté la supercherie et pour prendre aussi bien ses collaborateurs que leurs complices prestataires, la main dans le sac, a décidé de surseoir à tout moment de faire un audit. Toute chose que les fraudeurs professionnels craignent. Voilà tout son crime. Ainsi, et collaborateurs suspects, et prestataires extérieurs véreux ont tous senti la menace de la prison. Et pour mettre la pression sur le patron de la maison, ils ont choisi de recruter une caisse de relais de l’intoxication pour faire chanter et maintenir la pression sur le PDG Alapini. Habitué à ces genres de fourberies, Valery Alapini, qui se refuse à répondre à la bassesse, laisse le temps révéler la vérité. Mais nous notre devoir est d’éclairer nos lecteurs et les populations.
Voilà le crime commis par le PDG de LBM. Il aurait dû les laisser entamer, par leurs magouilles, la réputation d’une entreprise qu’il a mis une trentaine d’années de sueur pour construire. Voilà la réalité de la situation. L’audit lancé situera bientôt sur qui a fait quoi.
Aboubakar TAKOU