A quelques jours de la grande rencontre des Elites Engagées du président Jacques Ayadji, les coups bas et autres actions de déstabilisation du parti Mouvement des Elites Engagées pour l’Emancipation du Bénin (Moele-Bénin) ne cessent de se multiplier.
Mais comme le président de ce parti Jacques Ayadji et les siens savent qu’ils ne sont pas nés de la dernière, ils n’en ont que cure. Car pour s’être donnés comme crédo, le respect de ce que recommande la réforme du système partisan comme le veut le grand réformateur Patrice Talon, ils savent qu’ils seront combattus de toutes parts jusque pour essayer de faire tanguer le navire Moele-Bénin.
Après l’étape du suspendu qui dit à grand renfort de communication avoir démissionné, c’est le tout d’autres plaisantins de se prêter au jeu au mépris des textes du parti. Il s’agit de Isidore Dossou Zandjou, Arsène Zocli, et de leur clique, annonce-t-on, dans la 18ème circonscription électorale notamment dans les communes de Houéyogbé et Bopa. Mais que peut-on faire face à des gens sans conviction et qui ne savent pas s’intégrer dans le système partisan et pensent toujours s’accommoder avec le vagabondage politique d’antan ? C’est pourquoi sachant que certains éléments n’étaient avec lui qu’en pèlerinage, le président Ayadji et les Elites Engagées avaient mis des garde-fous afin que quelque individu ne prévale plus que le parti. D’où les inimités que cela leur a causées sans compter les coups bas et autres actions de déstabilisation par-ci par-là. Et d’ailleurs, les parties de l’exploit d’huissier sur démission de Isidore Dossou Zandjou que l’on ventile sur la toile à tout vent atteste de cette campagne de destablisation et de vagabondage politique. Déjà, cela est suffisant pour mettre la puce à l’oreille à ceux qui croiront être tombés sur la bonne pioche. Erreur ! Donc, attention au revers de la médaille.
De toute façon au niveau du Moele-Bénin, c’est la sérénité car le parti ne fait que se décrasser naturellement ! Un déparasitage qui fort heureusement se fait naturellement sans que les responsables du parti n’aient à prendre quelque décision que ce soit. Car le meilleur reste à venir.
