Au cours de la tournée nationale dans laquelle est engagé le président Patrice Talon depuis le 12 novembre 2020, ce dernier ne cesse de rappeler ce qu’il en est et comment le Bénin est en train de changer avec la lutte contre la corruption engagée depuis 2016.
Aux scandales Cen-Sad, Maria-Gléta, Icc-Services et consorts, PPMA, construction du siège de l’Assemblée nationale, machines agricoles, Ppea II, etc., le président Talon y répond par sa méthode. Une méthode qui non seulement fout la trouille aujourd’hui à tout prédateurs des deniers publics mais aussi par la création d’instruments de répression des de la corruption et autres infractions connexes. D’ailleurs, au-delà de l’appréciation de cette lutte par Transparency International l’instrument de répression et de trouille à son évocation, est la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet). Il n’y a pas ce Béninois qui ne la connait ou n’ignore les dossiers grands dossier que l’on envoie de ce côté-là.
Résultats des courses, des réalisations qui forcent l’admiration et qui fait que les populations béninoises peuvent maintenant bénéficier d’infrastructures de leurs propres fonds. Autrement dit, ce qui était dilapidé, volé, détourné, etc., servent maintenant à la satisfaction des besoins des populations. Il s’agit entres autres des salles de classes, des infrastructures routières, sportives et marchandes, des programmes de micro-crédit, de l’énergie électrique, de l’eau, etc.Au total, depuis 2016, on ne peut que se rendre que le Bénin est réellement engagé dans une lutte sans merci contre corruption et cela paie au regard des infrastructures qui sortent de terre. Et ça, c’est grâce à la détermination du président Talon.
AY