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Société

Georgia Mercy / panafricanisme Idiot et jalousie maladive contre une étoile rayonnante : QUAND LA BETISE S’ATTAQUE A LA NOUVELLE AMBASSADRICE AGNIOLA AHOUANMENOU

Il est pathétique d’observer Georgia Mercy, tel un rapace affamé à la silhouette de gargouille mal sculptée, guetter chaque réussite pour en déchiqueter la légitimité avec une hargne digne d’une rancœur personnelle jamais digérée. Sa dernière diatribe contre Agniola Ahouanmènou, nommée ambassadrice du Bénin aux États-Unis, n’est qu’un vomi narcissique de celle qui, incapable de briller, s’éclaire à la lueur des incendies qu’elle allume sur les réseaux sociaux. Sous couvert de « dénonciation », Georgia distille un venin qui trahit moins une inquiétude pour l’intégrité que la rage de ne pas être, elle, à cette place. 

Qui donc est Georgia Mercy – loin du niveau d’études, de la beauté, et surtout du charme de la nouvelle ambassadrice – pour juger les mérites d’autrui, sinon une égérie de la médiocrité revancharde ? Son obsession à réduire toute ascension féminine à des « compromissions » en dit long sur son propre complexe d’imposture. Ne supportant pas que des femmes osent lui voler la vedette sans recourir, comme elle le fantasme, à des manigances sordides, elle projette ses échecs sur celles qui ont le courage de réussir sans s’excuser d’exister. Son réquisitoire n’est qu’un miroir brisé : on y voit les éclats de son amertume, jamais ceux du réel. 

À force de se vautrer dans le mépris, Georgia, au visage patibulaire façon « raté de la poterie », a oublié que l’intelligence se nourrit d’admiration, non de rabaissement. Son « analyse » est un tissu de sous-entendus dignes d’un mauvais scénario de télénovela low-cost : accusations sans preuves, insinuations lâches, et ce ton de supériorité morale qui sent bon le café froid des rancunes de comptoir. Croit-elle vraiment qu’en salissant Agniola Ahouanmènou, elle effacera l’éclat de son parcours ? Non. Elle ne fait que révéler au grand jour sa peur viscérale d’être éclipsée par celles qui, contrairement à elle, agissent au lieu de geindre… et surtout, sa frustration de ne pas voir les autres emprunter les mêmes dédales de misère que son parcours de « Cendrillon version toxique, mais sans la fée ni la beauté ». 

Sa misogynie internalisée est un spectacle pitoyable. En assimilant le succès des femmes à des combines, Georgia Mercy s’enfonce dans le rôle de la méchante de l’histoire, celle qui préfère cracher sur les couronnes plutôt que de tenter d’en mériter une. Et pendant qu’elle s’épuise à minimiser les exploits d’autrui, le monde avance, laissant derrière lui ces âmes rancunières qui confondent critique et jalousie. 

La prochaine fois qu’elle s’attaquera à une femme belle et accomplie, peut-être devrait-elle se mirer dans son écran éteint – le seul capable de ne pas renvoyer l’image de sa déconfiture – et se demander pourquoi son propre nom ne suscite qu’un haussement d’épaules, quand celui de ses cibles fait vibrer les institutions. Drôle de destin pour cette « panafricaniste » de pacotille, qui carbure au clavier et à l’aigreur, persuadée que poster des diatribes à 3h du matin équivaut à de la diplomatie.

Après tout, si le poison était un art, Georgia serait une virtuose… et si la laideur morale était un concours, elle collectionnerait les trophées. Mais l’Histoire, elle, n’immortalise que celles qui bâtissent, pas celles qui ressemblent à des caricatures de méchants de Disney conçues pendant une panne de courant.

JDD.T

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