« Que toute personne qui achète les objets de rituel de Banamè soit anathème. Il verra le sable et croira que c’est du Gari. Monsieur le président Patrice Talon maintenant prenez vos responsabilités. Ce peuple a besoin de son président. Sauvez-le de Banamè. » Dit Chabi Wouré Boukoukpin, Bertin Koovi soutien indéfectible du président Patrice Talon. Et comme si cela ne suffisait, c’est un message audio que Dr Bertin Koovi a fait comme ses habitudes afin de toucher le grand monde plus facilement.
Pour lui, l’invite de Parfaite à ses « houilles » d’aller acheter je ne sais quoi à 600 francs… » est une escroquerie que la République ne saurait laisser perdurer. On ne saurait laisser une telle pagaille continuer sans réagir ou punir cela selon les rigueurs de la loi. Selon l’homme qui dit « Mon Dieu me dit : Bertin, tu ne peux pas être au Bénin et que ça se passe et que tu te taises », il faut que le ministre de la justice, ou le procureur de la république se prononcent et se saisissent de ce dossier pour y mettre fin.
Au regard de tout ce qui se passe et qu’on laisse à propos de Banamè, cela ne saurait durer, soutient-il fermement. Il fut réagir pour arrêter que Banamè continue de salir l’image du Bénin et surtout celle du président Talon.
« Si la République doit prendre parti pour Parfaite de Banamè, ce sera la République qui sera détruite parce que Dieu… ne laissera pas Banamè se moquer de la République. Monsieur le Président Patrice Talon, le pouvoir vient de Dieu et c’est Dieu qui vous a fait président… » A déclaré Bertin Koovi pour inviter le président Talon à ne plus se taire. Réellement très remonté, il trouve qu’il est temps de mettre fin à cette pagaille. C’est pourquoi il dit : « Monsieur le Président, vous ne pouvez pas continuer de vous taire, de laisser Parfaite de Bertin Koovi se moquer de la République… » A-t-il déclaré au président de la République. »
Mieux, il trouve que si le président Talon n’a pas le courage de réagir, il est disposé à préparer à initier le président pour contrecarrer toute attaque de Banamè.