Se trompant d’époque, le gros bonnet de la drogue au Bénin, Brice Azar qui tient ce vilain trait de commerçant de poudre, de ses parents, niait et menaçait tout le monde.
Il se disait que ses bras-longs viendraient le sortir du pétrin afin qu’il poursuive après, l’Etat béninois et sa justice, de le harceler. C’était sans comprendre que les temps ont changé et que la Rupture est conduite de main de fer par un « Américain » de comportement, Béninois sans peur, Patrice Talon.
En un bon 10, le numéro 1 béninois a mis un système d’attaque qui broie toutes les défenses de l’équipe de la drogue. Brice Azar comme son compatriote en cavale Tarraf Nasser, n’ont pu changer les plans des hommes de Talon.
Et c’est toute honte bue, la queue entre les jambes qu’il séjourne depuis quelques heures dans les locaux de la Bef à l’Ocertid. Il ruse maintenant à citer de noms de certains Béninois pour se tirer d’affaire. Cas du sieur Philippe Assah. Mais ses vrais complices sont toujours en liberté et ont des révélations à faire à la justice.
Il a en cachette, un numéro duquel il converse avec ses complices. Ils sont une bonne douzaine de jeunes qui sont à ses ordres. Il suffit de mettre la main sur ce téléphone et la moisson promettra d’être plus grande.
Le concernant, après son procès, il faudra que le Bénin lui retire notre nationalité et l’expulse du pays après qu’il aura fini sa peine d’emprisonnement. La justice béninoise doit faire l’option de tolérance zéro à la drogue. Et le peuple béninois doit rester soudé derrière son président qui nous ouvre ainsi, par cette traque infernale contre la cocaïne et les autres drogues, le portail des États-Unis.
Affaire à suivre de près.