Bien que le gouvernement a pris l’engagement de réglementer les prix de vente des produits de première nécessité dans les marchés, les citoyens béninois, les vendeuses ne perçoivent plus les effets de ces mesures de soulagement.
La flambée des prix de ces prix de première nécessité dans les marchés laisse à désirer.Entre autres, le prix du sel a monté d’un cran. Le sac est à 6500f comparativement aux mois antérieurs; le carton du sucre est gonflé et passe de 25000f à 28000f ; l’huile rouge de 1000f à 1200f le litre.
Quant-aux prix du riz, de tomate, des pâtes alimentaires, de farine de blé, du maïs, la situation ne change pas de rythme. Cette augmentation de prix de ces produits seraient toujours due aux retombées de la guerre en Ukraine, les répercussions du covid-19.
Les populations sans voix souffrent de l’augmentation de ces prix. Pour une suite favorable, la clémence du gouvernement du président Talon est implorée.