Quelques jours après, le drame de Dassa continue toujours de faire réfléchir beaucoup de têtes pensantes dont Richard Boni OUOROU. Pour le politologue, face à la fréquence des accidents mortels sur nos routes, la tuerie de masse au nord et au centre par l’armée, le djihadisme et la mort de nos forces de défense, décédés dans le parc de la Pendjari et autres, il a lieu de se poser des questions sur la gouvernance de la rupture.
Nel Charbel KOFFI
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Cher.e.s ami.e.s
Il faut pouvoir le dire et le rappeler.
De mémoire, il n’y a jamais eu autant de sang versé dans notre pays, même sous Kerekou 1, que depuis l’avènement de ce gouvernement dit de la rupture.
Accidents mortels sur toute l’étendue du territoire, tuerie de masse au nord et au centre par l’armée, djihadisme et mort de nos forces de de défense, mort dans le parc de la Pendjari et autres.
Ça devient trop effrayant et, même si nous pensons que les personnes qui colportent des rumeurs sur des théories sacrificielles ne sont pas objectives, ça donne quand même à réfléchir sur les capacités spirituelles de nos dirigeants et les capacités naturelles dont ils sont dotés pour diriger, rassembler, sécuriser un pays et donner de la prospérité aux concitoyens.
Entre : Serrer ceinture, aller en prison, mourir en masse, les concitoyens sont résolus à chaque jour à penser au pire en sortant de chez eux et même à l’intérieur de leurs foyers et c’est contreproductif pour le développement.
Tout ça ne doit plus se renouveler en 2026.
Courage et que Allah le seul et miséricordieux nous protège de ceux et celles qui se protègent de nous avec nos vies, qui qu’ils soient !
Prenez soin de vous
Issa Boni Richard Ouorou