Bande d’hypocrites qui n’ont jamais aimé Boni Yayi : Je vous ai eus (vous ne supportez pas plutôt la rigueur de Taïrou)
J’ai fait une provocation comme d’habitude, en couverture du journal « Le Béninois libéré » pour tendre les nerfs aux grincheux et ça n’a pas raté.