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Société

Bêtise, grossièreté et autres dépravations des soi-disant tiktokeurs/euses du Bénin : QUAND LE PIRE SE PASSE AU NEZ ET A LA BARBE DES AUTORITES COMPETENTES

Moi, j’appelle INFLUENCEUSE, une personne qui de par ses contenus multimédias  apporte un plus à l’éducation, l’information, la formation et le goût du beau. Cette personne peut positivement influencer les autres et susciter même des vocations.

Malheureusement, ce qui est un atout chez les autres a rang de drame chez nous. En lieu et place de TIKTOKEUSE, nous nous avons des intrigantes. Quelques femmes de mœurs légères qui s’illustrent à s’attaquer à longueur de journée. Si telle n’a pas couché avec le copain de telle, c’est un tel qui roue sa femme de coups pour sa maîtresse et vient l’ouvrir large comme un marché pour montrer sa toute-puissance sur son esclave de femme. Évidemment, nos associations de lutte contre les violences faites aux femmes n’existent que de nom et aucun procureur n’a le temps de s’évertuer sur ce terrain. Si ce n’est pas Maman tant qui s’attaque à la nommée Ciara, c’est elle qui réplique à une autre et An Nou Alé les gros mots. Personne ne sait ce qu’elles font dans la vie si ce n’est leur particularité d’avoir toutes des jambes sèches en forme de bâtonnets.

Dieu merci, à côté de ce tableau sombre qui donne envie de vomir, il y a une lueur d’espoir. La dame dont les vidéos sont ci-dessous. Par sa présence sur TikTok, elle révèle son business : la vente de pagnes. Elle ne s’affiche pas presque nue pour montrer qu’elle est belle. C’est sa beauté de femme mariée qui s’impose par son style d’habillement qui dévoile la beauté de la femme en pagne. La promotion des petites et moyennes entreprises. Car une vraie femme est celle qui sait fructifier le capital reçu. Cet exemple mérite d’être encouragé, révélé pour la comparaison avec le drame qui corrompt notre jeunesse. Les amateurs et consommateurs de contenus multimédias doivent aider à l’assainissement dans ce monde par le rejet de ces bêtises qu’ils appellent live et qui les occupent tout le temps.

L’État qui traque aujourd’hui les petits cybercriminels appelés « Gayman » était là quand cette perversion a commencé avec ces enfants qui ont tous quitté les bancs pour le gain facile. Aujourd’hui, c’est un peu tard pour réussir à redresser ces jeunes. Cette même indifférence s’observe au niveau de cette nouvelle pathologie des INFLUENCEURS et INFLUENCEUSES qui ont pris d’assaut le réseau social TikTok. Demain sera trop tard pour rattraper la situation.

Bravo aux vrais influenceurs et « maudia » pour les microbes. Même Yénalia, la vendeuse nationale de Talé-talé qui était l’égérie de la femme mahi, est malheureusement tombée dans la vague. C’est vrai que comme les autres, elle a d’enfant, la même corpulence avec la différence qu’elle n’a pas un gros visage sur un corps plus petit.

Vivement que la vendeuse de pagnes inspire les autres !

Aboubakar TAKOU

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