Il y a une semaine le CEP s’est déroulé dans de très bonnes conditions et sans incidents majeurs qui aient alimenté les réseaux sociaux pour donner de la matière à ceux qui vilipendent notre système éducatif.
Hier, lundi 14 juin 2021, a également démarré le BEPC qui pour la première journée n’a également donné cours à aucun incident, et probablement comme le CEP, se déroulera aussi bien qu’il a commencé. Et si les examens ont commencé à bonne date comme ils étaient prévus, c’est que l’année s’est bien déroulée. Et c’est bien le cas.
En effet, durant toute l’année, le système éducatif n’a connu aucun chamboulement comme s’était le cas avant l’arrivée du président Talon au pouvoir. Il n’y a pas longtemps, l’année scolaire de 9 mois était pour la plus part du temps résumée à 5 voire 4 mois de cours et laissait les apprenants avec des lacunes assez graves pour leur niveau d’étude. Aujourd’hui avec les réformes, les grèves ont disparu du système éducatif laissant place au bon déroulement des cours et la tenue à bonne date des examens.
Une situation qui n’était pas possible il y a 5 ans. Les grèves étaient devenues monnaie courante. Il y avait plus de jours de grève que de jours de cours avec des revendications tout aussi légitimes que farfelues.
Aujourd’hui, tout cela est conjugué au passé. Les cours se sont bien déroulés avec la disponibilité des enseignants et par ricochet le bon déroulement des examens de fin d’année qui ont commencé depuis le 07 juin dernier avec le CEP et maintenant le BEPC et pour finir le BAC la semaine prochaine. Comme on le dit, tout est question de volonté politique car vouloir c’est pouvoir.
Arnaud KOUMONDJI