Dans un audio qui a circulé, la diablesse de la Mission de Gbanamè a dit toute son administration pour l’ancien bras droit du président Patrice Talon, Olivier Boko. Selon elle, c’est parce que le président de la république craint un carnage au domicile de Olivier Boko dans un affrontement entre les forces publiques et sa milice, qu’il a été obligé de le sortir de sa maison pour son interpellation quand toit a été clair dans ce projet de tentative de coup d’État. Une déclaration très grave dans un pays après ce drame heureusement déjoué. Le procureur de la république aurait dû s’autosaisir de cette déclaration pour interpeller celle qui sait que le domicile de l’homme qu’elle dit préférer au président Talon, a un arsenal militaire impressionnant.
Tout ceci sans compter l’arrogance dont elle a fait montre à l’encontre du président de la république comme s’il s’agissait de son gosse. La quête de la paix dans le pays, ne saurait expliquer cette indifférence de la justice béninoise face aux propos de cette petite dame passée reine dans le chantage.
Ayant couru en vain derrière le président Talon pour le « gratter » financièrement au motif qu’elle est malade et en passe de perdre ses jambes, Parfaite veut maintenant se venger du président : lui tendre les nerfs en faisant passer Olivier Boko pour la victime tout en soutenant aimer plus son bailleur virtuel au président Talon. Malheureusement que le chef de la Rupture est très peu bavard sur ses actions de générosité. La diablesse de Gbanamè ne saura donc jamais que tout l’argent dont elle avait bénéficié, venait de la poche généreuse du président Talon et que Olivier Boko n’avait servi que de couloir de transmission comme transporteur puis usurpateur.
Voilà comment tout se passait autour du président Talon. Il envoie sans calculer mais c’est Olivier Boko qui se faisait passer pour le généreux donateur.
Aboubakar TAKOU