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Société

Confusion créée par l’interprétation de l’arrêt de la Cour d’appel de Cotonou dans le dossier MEF Int : Le pire a été frôlé ce samedi

Apparemment la fin des troubles qui se constate depuis le 12 mai dernier n’est pas pour demain. Et pour cause, cette interprétation faite de l’arrêt n°002-CH-PD-CIV/2023 du 27 janvier 2023 que la Cour d’appel de Cotonou a mis fin, à travers l’arrêt n°010/2023/CIV CH-PD-COT-23 du 12 mai 2023, a semé la zizanie dans l’église Mission Evangélique de la foi Internationale (Met Int). Tout est sans dessus dessous depuis cette interprétation 12 mai dernier.

En effet, au-delà des fidèles de la Mef int fondée par le révérend Pasteur Augustin Gbedjinou Sossa Toudji, personne mêmes les juristes ne comprennent pas comment l’interprétation de l’arrêt n°002-CH-PD-CIV/2023 du 27 janvier 2023 qui condamne les nommés sieurs Dieudonné Noukounyeflin, Guy Didier Prince, Ulrich Akogbé et Anatole Akoueté, et dit que le révérend Pasteur Augustin Gbedjinou Sossa Toudji demeure le seul Président de l’Association dénommée « L’égalise Mission Evangélique de la foi Internationale (Met Int) », a débouché carrément sur le contraire. Autrement dit, les nommés sieurs Dieudonné Noukounyeflin, Guy Didier Prince, Ulrich Akogbé et Anatole Akoueté, ont été réhabilités tandis que le président fondateur de Mef Int, Augustin Gbedjinou Sossa, a été condamné en ajoutant même une porte ouverte. Juste pour croire pouvoir fragiliser le président fondateur de Mef Int au profit de la bande à Dieudonné Noukounyeflin. Et justement c’est la perche saisie par les frondeurs qui ont cru devoir l’emprunter pour s’engouffrer afin de vouloir devenir comme Iznogoud, calife à la place du calife.

Bref, tout est aujourd’hui confus pour les disciples avec cette interprétation du 12 mai, intervenu à un moment où les gens pensaient avoir fini avec les vieux démons de la division avec l’arrêt du 27 janvier. Il urge que la Cour d’appel de Cotonou d’où est venu cette interprétation de discorde puisse agir pour rétablir le droit, dire le droit afin que l’interprétation biaisée puisse être rangée.

Le préfet du Littoral a sauvé l’église du pire le week-end écoulé

Comme on le disait depuis un certain moment, le dossier Mef Int dont l’interprétation de l’arrêt du 27 janvier dernier non seulement prête à confusions mais aussi est source de troubles. Troubles que le préfet du Littoral Alain Orounla a voulu éviter à son département. Car n’eût été lui, le pire serait survenu le week-end avec la bande à Dieudonné Noukounyeflin qui est dans son forcing. Voyant venir ses troubles, il a tout simplement et fermement interdit que le siège de l’église Mef Int à Vodjè soit transformé en un champ de bataille avec des frondeurs dans une pseudo installation à pas de charge d’un nouveau président qui serait nommé par la branche nigériane. Holdup bloqué pour éviter les affrontements.

Toute chose qui démontre les agitations d’une certaine jeunesse des frondeurs face à l’expérience de 40 ans de mission chrétienne avec Mef Int du pasteur fondateur Augustin Gbedjinou Sossa Toudji. Et malgré les tintamarres des frondeurs, il faut se rendre compte que le pasteur fondateur Augustin Gbedjinou Sossa Toudji est encore en vie et plus que jamais prêt à poursuivre sa mission à la tête de l’église. Mieux, il n’a jamais dit renoncer à sa charge à la tête de l’église. Probablement, des faits qui peuvent avoir amené le préfet Orounla à couper court à tout désordre dans sa juridiction.

AY

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