(Les parents d’élevés pleurent pour la santé de leur enfants à cause des bourratifs)
Malgré les efforts du gouvernement du président Talon pour garantir la fourniture des repas scolaires aux enfants dans les écoles bénéficiant de cantines scolaires, la qualité des repas servis aux enfants semble poser de problème, comme illustré dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux.
Cela soulève des préoccupations légitimes quant à la santé, au bien-être des enfants et surtout à la bonne foi des uns et des autres dans l’atteinte des objectifs visés.
Dans la vidéo en question, une dame présente un repas à savoir la pâte avec la sauce crincrin encore appelé Ninnouwi ou Adémé. Pas de véritables ingrédients dans cette sauce à plus forte raison des soupçons de viande ou de poisson. Ce repas ne contribuant pas à la croissance des enfants. Du genre, remplissez le venter des enfants, le reste on s’en fout ! Ce qui à la longue pourrait être qu’un bourratif.
C’est pourquoi les parents sont inquiets face à de telles situations et envisagent de retirer leurs enfants de l’école si la qualité des repas n’est pas assurée. Ce cri de cœur de cette dame n’est que la partie visible de l’iceberg. Car les plaintes sont nombreuses. Et certains acteurs en sont conscients mais ils craignent d’en parler de peur de sanctions parce qu’ils trouvent que sous la gestion du PAM, les enfants étaient mieux nourris qualitativement que maintenant même s’il y avait des vols par-ci par-là.
Aujourd’hui, avec la promotion des produits locaux ou du mieux, cela est devenu autre chose où une fois les vivres servis aux écoles, on ne se préoccupe plus du plus important : la sauce. Or un repas chaud sans une bonne sauce n’est pas un bon repas. Mieux, un repas équilibré assure une bonne santé et une bonne croissance. C’est la sauce qui fait le repas et non le contraire. Et on dit souvent bien manger pour vivre. D’où cette dénonciation de la qualité des repas servis aux enfants bénéficiant de la cantine scolaire. D’autres critiques sont très acerbes par rapport aux repas servis et posent également le problème de produits livrés suivi de ce qui se fait de ces vivres. Et sur ces aspects, le ministre Salimane Karimou a encore du travail à faire pour éviter les bourratifs aux enfants à la place des repas suscitant le plaisir et le sourire des enfants.
Quoi qu’on dise, il n’y a pas le cœur à l’ouvrage à cause peut-être des besoins non satisfaites et des suggestions non prises en compte.
Et pourquoi ? Seul le ministre Karimou peut régler la situation. Il est de sa responsabilité de s’assurer que les programmes de cantine scolaire fonctionnent conformément aux normes établies et que les repas servis aux enfants sont sains et nutritifs. La santé et le bien-être des enfants sont d’une importance capitale pour leur éducation et leur avenir, et il est impératif que ces préoccupations soient traitées de manière diligente et efficace.
Dans le cas contraire, bienvenue aux critiques des repas de la cantine dont l’ambition du gouvernement Talon est l’atteinte des 100% de couverture des écoles. Affaire à suivre !
Vignon Justin ADANDE
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