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Politique

Déclarations de deux jeunesses opposées de Parakou sur le malentendu Batoko-Gbadamassi : ON SAIT MAINTENANT LÀ OÙ LA DROGUE ET LE SODABI SAUVAGE ONT DÉMOLI LES CERVEAUX

(Gbadamassi doit continuer le combat du développement de Parakou malade de sa jeunesse oisive et résignée)

Peine perdue de comparer l’honorable Rachidi Gbadamassi au président de la Cour suprême, Ousmane Batoko. Ce sont deux personnalités que tout oppose. L’histoire est là, têtue comme une mule pour montrer que si l’une va vers l’Est, l’autre est déjà loin vers l’Ouest. Le plus important aujourd’hui pour la municipalité de Parakou, pour son développement, est l’héritage qui se dispute entre la jeunesse autour de ces deux idéologies.

Pour s’en convaincre de ce qui y découle comme regret, indignation et indigestion, il faut parcourir les deux déclarations lues par les Jeunes Leaders de Parakou et les Jeunes Engagés pour les Intérêts de la Ville de Parakou.

Des dénominations, l’ambition est dévoilée. Il y en a qui sont Leaders et les autres qui sont Engagés pour les intérêts de la ville de Parakou.

Pour revenir aux déclarations proprement dites, les Jeunes Leaders ont, tirant leçon de cette actualité, emboîté le pas à papa Ousmane Batoko dont ils insistent à défendre la position de doute sur ce qui, selon la justice béninoise à travers le Procureur spécial de la Criet, Mario Métonou, relève du regrettable parce que, pouvant conduire notre chère Nation dans les abîmes des conséquences d’un coup d’État. Et dans le même temps, ils lancent comme un ordre au président de la république, Patrice Talon, de venir continuer le développement de Parakou. Ceci après avoir laissé transparaître leur regret à peine voilé de voir ce coup d’État contre le président Talon, échoué. Voilà la jeunesse qui a suivi le président Batoko dans sa logique développée à notre confrère de Éden Tv.

Face à eux, les Jeunes engagés pour les intérêts de la ville de Parakou. Ces derniers sentent à des kilomètres à la ronde, le seul parfum qu’on connaît à l’honorable Rachidi Gbadamassi depuis bientôt 30 ans : travailler voire mourir pour la ville de Parakou. Les faits, des preuves sont là pour parler à la place du député honoraire du président Talon.

Cette jeunesse a, dans son intervention, condamné avec véhémence, ce coup d’État avant d’en appeler à une justice équitable au procès des prévenus Olivier Boko, Oswald Homéky et des autres. Puis dans leur immense joie de voir la tentative échouée, ces Jeunes engagés pour le bonheur de Parakou, ont prié pour leur papa chéri, Patrice Talon de qui ils attendent, le pardon à la bouche, qu’il continue à placer la ville de Parakou dans ses priorités.

Voilà détaillé de façon aussi basique la position de deux différentes jeunesses. Qui aura grâce aux yeux de Dieu, du père de la Nation ou aux yeux d’un simple citoyen béninois ? Les adeptes de Batoko ? Ou les amis et étudiants de l’école politique Rachidi Gbadamassi ?

On aura pas besoin de 07 paires d’yeux, de jumelles ou d’avoir un cerveau à réacteur pour comprendre. Les premiers qui dorment dans les aigreurs de Batoko contre le président Talon, sont ce qu’ils sont. On se demande, mais on devine aisément, là où ce type de jeunesse pourra conduire Parakou. Droit dans le mur certainement pour dire après, que c’est parce que le président Talon est de la partie australe du pays, qu’il a délaissé la ville des  » Tomènou ». Dieu merci que cette jeunesse au cerveau entamé par la drogue, le SODABI sauvage du Nord, est aujourd’hui une minorité, une quantité insignifiante dans cette mégapole.

Quant aux amis de l’honorable Rachidi Gbadamassi, on voit que leur cerveau est en place. Ils sont de bons croyants qui mettent en priorité l’autorité établie par Allah (Dieu). Ils sont prêts à tout donner pour Parakou à l’image de leur leader Gbadamassi. Parakou peut se réjouir de pouvoir compter sur sa vraie jeunesse. Il y a des milliers de Gbadamassi en devenir. Parakou, la belle peut dormir tranquillement sans faire attention aux vacarme insipides, Dieu merci, stériles de ses enfants dont Ousmane Batoko s’assure du clonage en allant les réveiller à coup de pieds dans les ghettos mal famés de la ville. Gbadamassi n’est comme personne à Parakou en termes de sacrifice pour cette ville. Que certains jeunes retournent aux boissons frelatées et laissent les questions de développement aux vrais jeunes.

Aboubakar TAKOU

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