Le criminel Black T Igwé n’est pas de caractère à promettre un changement à ses voisins. Il reste une menace pour les femmes. Ses démarches après la publication de notre article sur sa posture à l’encontre de la fille qu’il a eue suite aux viols perpétrés sur une pauvre orpheline de 12 ans, le démontrent.
À qui veut l’entendre, le criminel du nom d’artiste Black T Igwé nie les faits de viol sur cette mineure de 12 ans. Il veut faire croire à ce que la fille était consentante. Et comme il avait nié devant la police il y a 20 ans n’avoir jamais touché une deuxième fois à sa victime pour être le père de la petite de quelques jours à l’époque, c’est au même refrain qu’il se donne présentement. Dans le même temps, il fait contacter sa victime pour demander ce qu’elle veut (allusion faite à de l’argent) pour oublier cette affaire. Comme si un double viol sur une mineure de 12 ans suivi de l’abandon de la mère et de la fille pendant 20 ans peuvent être achetés.
Sa grande sœur qui était pourtant au fait de cette affaire et qui n’avait jamais demandé d’après la fille et sa mère, depuis 20 ans, trouve aujourd’hui les moyens d’avoir le numéro de la victime de son frère Black T Igwé. Dans sa requête, elle demande à la pauvre d’oublier tout ce qui s’est passé et d’accepter qu’elle intervienne dans l’affaire. Maintenant que ça sent le roussi et que son frère pourra répondre de son double viol sur une mineure, elle trouve le besoin de prendre maintenant contact avec une dame qu’elle a rejetée depuis des années sans même penser à panser ses blessures.
L’autre parenthèse ahurissante dans l’affaire est que le même Black T Igwé avait, alors que deux ans plus tôt niait la grossesse, est allé retirer sa fille de deux ans prétextant de ce qu’il a appris que la maman l’aurait laissé à une des ses tantes pour voyager. Mais deux mois après, sous prétexte que l’enfant urine sur les câbles de son petit studio de l’époque, décide de remettre la petite à la seconde (elle est jumelle) de sa victime. Aujourd’hui c’est lui qui demande à cette jeune fille devenue adulte, de ne plus l’approcher au risque de réveiller sa forfaiture d’il y a 20 ans. Ce sombreux artiste togolais ne mérite aucune solution atténuante. Comme on fait son lit, on se couche. Un double violeur qui continue de nier l’évidence, est un danger pour les femmes. Si le Togo accepte de couver ce monstre, le monde doit prendre des dispositions pour protéger les femmes contre ce monstre.
Affaire à suivre !
Aboubakar TAKOU