Feu Houphouët-Boigny disait qu’il est difficile en Afrique de cacher le soleil avec son doigt. Autrement dit, ce qui est évident, l’est. Lorsqu’on voit un pseudo » Tchaouna A.I » signé un post au profit du plus vieux député du Bénin, Wallis Zoumarou, tout en traitant le Br de Bloc Ruiné, on comprend aisément d’où provient cette analyse qui pue une sauce de feuilles de Baobab à 5 kilomètres à la ronde.
Aucun Br défenseur de Wallis Zoumarou ne peut souhaiter encore moins ruiner le Br. Tout au plus, il posera autrement le diagnostic pour essayer de proposer des pistes de solutions pouvant aider le parti s’il était réellement menacé, de gagner de sa sérénité.
Et c’en est de trop pour ces défenseurs du vétéran Zoumarou qui ne rêvent que de la mort du cheval blanc. Aussi, Wallis Zoumarou qui clamait dans un certain milieu ses admirations pour l’Up et pour Bruno Amoussou, ne peut-il aujourd’hui nier ses affinités incestueuses avec l’Up pendant qu’il se dit Br ?
Mieux, sa récente tentative heureusement avortée par le président Talon lui-même d’évincer celui qui est son jeune frère de village, de la tête du parti en dit aussi long sur ses projets de déstabilisation de l’hégémonie du cheval blanc cabré.
Wallis Zoumarou est un fumiste qui symbolise le contre-exemple même du militantisme politique contrairement aux propos de l’Up réfugié derrière le pseudonyme Tchaouna A.I qui le présentait comme une référence politique béninoise.
Or dans le CV du vétéran Wallis Zoumarou, la trahison et la délation ornées de mauvaise gestion des entreprises à lui confiées, viennent fréquemment dans les colonnes. Il n’est donc pas un exemple qui puisse susciter de vocation au niveau de la jeunesse béninoise.
Le Sgn/Br Abdoulaye Bio Tchané est maintenant appelé à prendre ses responsabilités pour ne pas être taxé de régionaliste ou de favoritisme dans ce cas de Wallis Zoumarou. Car le ministre Abimbola n’avait pas dit pire avant d’être violemment recadré.
Il vaut mieux rappeler Abimbola que de laisser le virus Zoumarou entraîner le parti dans une autre pandémie.
Aboubakar TAKOU