Pour permettre à la jeunesse de s’imprégner des conséquences de la toxicomanie sur la vision, la zone 15 des Lions clubs de Cotonou composée de Cotonou Eméraude, Cotonou la Cygogne, Abomey-Calavi la colombe, Abomey-Calavi Acacia et Cotonou les bâtisseurs a initié une sensibilisation à travers les artères, maisons de Fidjrossè et sur l’esplanade du terrain de basketball de l’Université d’Abomey-Calavi, ce vendredi 29 juillet 2022 sous le regard vigilant du président de la zone Jacques Ayadji. Ceci, pour rester en phase avec la quinzaine des Lions clubs du monde entier dans le mois de juillet, pour la lutte contre la toxicomanie.
Après une première étape de la sensibilisation itinérante à Fidjrossè, Nelson Avademey, président des Lions clubs de Cotonou Eméraude est revenu sur l’objectif de cette initiative. Pour lui, « Nous avons initié cette initiative parce que nous avons constaté qu’il y a assez de jeunes ayant des problèmes visuels. Et nous sommes venus leur apporter la solution. Le message a été clair et bien passé ». Ce qui enchante le président de la zone 15, Jacques Ayadji qui salue l’organisation. « J’ai encouragé les 5 clubs à pérenniser une telle sensibilisation pour l’atteinte des objectifs escomptés. Mes impressions sont bonnes et chapeau aux clubs de la zone 15 » a-t-il mentionné.
Après Fidjrossè, cap a été mis sur le campus d’Abomey-Calavi pour passer une communication sur la cécité et la toxicomanie où des experts ont été conviés pour la circonstance. Ce qui réjouit Renaud Dossa, président de Léo club d’Abomey-Calavi Le havre de paix. A l’en croire, « Nous avons l’habitude de faire une sensibilisation digitale et il est temps de passer au présentiel pour toucher les cibles concernées ». Ce que soutient Hermann Kpetoukpetou, Président lions club Abomey-Calavi la colombe qui est revenu sur l’objectif principal. Celui de percevoir les dangers de la toxicomanie sur leur vision. La réussite de l’activité est une satisfaction morale du communicateur Ferdinand Adounkpè.
A travers cette communication, jeunes, parents et amis sont désormais informés des dangers de la toxicomanie. Il faut noter que cette communication a été une période de partages d’expériences et d’échanges. Les participants quant à eux souhaitent une sensibilisation périodique. Et à cet effet, « Nous nous engageons à faire régulièrement cette sensibilisation pour permettre aux jeunes de savoir les conséquences de la toxicomanie sur la santé notamment visuelle » rassure Nelson Avademey.
Hilbert EDAH