Ce samedi 1er mars, la cathédrale Saint-Pierre et Paul de Parakou a été le cadre d’une cérémonie d’enterrement empreinte de tristesse et de respect à l’occasion de la disparition tragique du ministre Kouaro Yves Chabi. L’homme politique, ministre de l’Enseignement secondaire et de la Formation technique et professionnelle, a perdu la vie dans un accident alors qu’il se rendait à Parakou dans l’exercice de ses fonctions.
La cérémonie a réuni une foule nombreuse, composée de personnalités politiques, administratives et de proches du défunt. Parmi les présents, on comptait le ministre d’État Abdoulaye Bio TCHANE, plusieurs ministres membres du gouvernement, des députés, des responsables des institutions publiques, des autorités locales telles que le préfet et le maire, sans oublier la famille du ministre, profondément éplorée par cette perte tragique.
Au cours de cette messe d’enterrement, des hommages poignants ont été rendus à l’illustre disparu. Le ministre Yves Kouaro a été élevé à titre posthume dans l’Ordre national du Bénin, une reconnaissance symbolique de son engagement et de ses contributions au développement de l’éducation et de la formation technique et professionnelle dans le pays. Cette distinction a été un moment fort de la cérémonie, soulignant la grandeur de l’œuvre accomplie par le défunt.
Après la messe, le cortège funèbre s’est dirigé vers la maison familiale du ministre, où un dernier hommage a été rendu en présence d’amis et de collègues. L’émotion était palpable, avec de nombreuses larmes versées par ceux qui l’ont connu et apprécié. Yves Kouaro était un homme de valeurs, d’engagement et de service envers sa nation.
En fin de cérémonie, le corps a été remis à la famille pour l’inhumation dans l’intimité familiale, dans le respect des traditions et de la mémoire de l’homme qu’il fut.
L’émotion était à son comble, tant sa disparition laisse un vide profond. Yves Kouaro a marqué son passage par son travail dévoué, son intégrité et son esprit de service. Ce départ tragique est une grande perte, non seulement pour sa famille, mais aussi pour le Bénin, qui perd un homme de valeur et d’engagement.
A K