(La non-participation à une élection n’est pas une fin en soi)
« Il faut rappeler que « l’atteinte volontaire à la vie des personnes, à leur intégrité, ou à leur liberté, ainsi que l’enlèvement ou la séquestration des personnes lorsqu’elle a pour but de contraindre indûment les pouvoirs publics à accomplir ce qu’ils ne sont pas tenus de faire ou à s’abstenir de faire ce qu’ils sont tenus de faire est qualifiée de terrorisme par les articles 161,162 et 163 de notre code pénal. »
A fait savoir le procureur spécial de la Criet, Elonm Mario METONOU lors de sa sortie sur l’interpellation de la candidate du parti Les Démocrates dont le dossier n’a pas été retenu par la Céna pour défaut de parrainages. A cette sortie du procureur doit permettre aux Béninois de revenir sur terre et sur l’essentiel.
Et pour cause, à suivre ce qui se passe dans les autres pays, le Bénin connu comme un havre de paix doit continuer à le demeurer car l’absence ou la non-participation à une élection n’est pas une fin en soi d’autant plus que si la première expérience n’a pas été fructueuse, la seconde pourrait l’être. C’est pourquoi tout en mesurant la gravité des faits reprochés à Réckya Madougou, il devient plus qu’une nécessité de les condamner avec la dernière rigueur et surtout plaider pour une peine proportionnelle, aux fait évoques. Ainsi, cela servirait d’exemple et dissuaderont d’éventuels apprentis fauteurs de troubles et autres.
Par ailleurs, il convient de privilégier l’essentiel en demeurant quel que soient les situations ou les événements les bons démocrates reconnus aux Béninois et qui circulent dans leur sang depuis des lustres. S’en écarter ou s’en départir, revient renier l’héritage des pères fondateurs. Le Bénin doit continuer sa marche avec tous ses fils connus de par le monde comme bons démocrates au lieu de ces Béninois ou soi-disant démocrates qui voudraient faire régner d’autres situations préjudiciables au Bénin et loin de tout caractère démocrate. On n’a qu’un seul pays, le Bénin, et en aucun cas nous devons susciter la violence ou adopter des actes terrorisme dont on ne pourra pas gérer les répercussions.
Comme on le dit : on sait quand ça commence mais jamais quand ça va s’arrêter. Il faut que la raison prévale dans les cœurs surtout dans le cœur qui ont d’autres idées lugubres. C’est pourquoi il convient de condamner les agissements projetés par Madougou et les siens visant à susciter des troubles ou mieux à déstabiliser le pays et qui risqueraient de passer leurs seules personnes. Le cas des pays comme la Libye et autres sont là pour édifier tout un chacun.
En définitive, quoi qu’on fasse ayons à l’idée que force doit rester à la loi et cette sanction de Madougou doit servir d’exemples car la vie est sacrée.