Faisant suite à l’appel interjeté par l’apôtre Augustin Sossa de la position du juge du premier degré, c’est demain jeudi qu’aura lieu la première audience de la Cour d’appel de Cotonou.
Une instance qui a aussi bien la qualité, les compétences et l’expérience pour défaire le vilain nœud artificiel que les mauvais esprits ont fabriqué pour inquiéter les fidèles. Car aussi clair que l’eau de roche, aucun homme fondateur de sa structure n’ira se lier les mains par les textes qu’il a proposés à l’origine pour se catapulter dans une retraite à 70 ans loin de sa création.
Et à supposer même que les textes faussement visés par les ouvriers du diable, aient inclus le fondateur, pourquoi cela n’a pas été observé au Nigéria, siège mondial de cette mission ?
Le droit est l’expression de la vérité. Mais comme cette vérité n’est pas souvent donnée à tous les hommes de la saisir, certains peuvent se planter, se tromper. Et la justice l’a si bien compris qu’elle a prévu des degrés de jugement pour ne pas trahir ce symbole de la vérité.
Après les mécaniciens, il revient maintenant aux artistes, grands érudits de la science du droit de venir faire la part des choses. L’apôtre Augustin Sossa a des raisons d’être serein. Le mensonge a toujours préféré la facilité des ascenseurs mais la vérité coutumière de la difficulté des escaliers, finit toujours par arriver en premier. Vive la justice rendue par des hommes de droit.
Aboubakar TAKOU