(Voici les grosses accusations sur le Camerounais)
Le panafricanisme qu’on reconnaît à Thomas Sankara, Mohamed Khadafi et cie perdu de sa superbe. Les gens se voyant omes des influenceurs sur les réseaux disent qu’ils sont panafricanistes. Zéro initiative, c’est le parler qui est leur arme de lutte. Au lieu d’être un exemple ou modèle, ils sont impliqués dans plusieurs dossiers de détournements de fonds, d’abus de confiance et autres.
Pour preuve : le 28 novembre 2024, Franklin Nyamsi, Président de l’Association Crush Party de Paris pour Guillaume Soro, se retrouvera devant le Tribunal Correctionnel de Rouen pour répondre à des accusations de détournement de fonds et d’abus de confiance. Ces charges ont été portées par le procureur de la République à Rouen. Il se dit panafricaniste, affichant fièrement son engagement pour l’unité et la souveraineté de l’Afrique sur les réseaux sociaux, mais en creusant un peu, on réalise que ses paroles ne sont qu’une façade. Contrairement à ce qu’il laisse entendre, son activisme se limite à des publications et à des prises de position virtuelles. A vrai dire, il n’est jamais réellement sur le terrain, aux côtés de ceux qui luttent pour des causes concrètes.
De plus, dans ce dossier qui appelle son nom, son comportement soulève de nombreuses questions. Alors qu’il critique constamment les élites politiques pour leur corruption et leur manque de transparence, il semble oublier qu’il traîne lui-même des casseroles et de grosses casseroles.
Des informations circulent sur des affaires douteuses dans lesquelles il serait impliqué, mais il préfère détourner l’attention en pointant du doigt les autres, comme son maître Guillaume Soro qui tente de le sauver.
L’engagement de Franklin Nyamsi, qui devrait être un modèle de probité, est entaché par des comportements contraires aux valeurs qu’il prône. Lui qui s’indigne publiquement contre les inégalités et l’oppression, mais dans l’ombre, il a les mêmes comportements car, voulant aussi profiter du privilège des autres. Bref, son discours reste superficiel, déconnecté des réalités qu’il prétend défendre, et terni par des dossiers compromettants qu’il feint d’ignorer.
Tous les regards sont tournés vers le 28 novembre 2024.
Vignon Justin ADANDE