La communication politique plus qu’une science, est un art. Elle n’est nullement tributaire du temps passé dans une école ou du nombre de parchemins obtenus. C’est de l’art point.
Pendant que des esprits éclairés s’apitoyant sur le sort de cette femme, réfléchissent à trouver, même contre sa volonté, les moyens de la sortir de ce lien de 20 ans de réclusion criminelle, des pseudos communicants qui confondent aigreur, agitation sur les réseaux sociaux à de la communication politique, choisissent de faire le procès de la Cour qui a jugé leur source de financement et celle dont ils devraient vraiment soutenir les moyens de défense. Ils s’en prennent aux députés Gbadamassi, Sado et Sanni comme si cette posture allait aujourd’hui influencer le verdict contre la pauvre.
Un de leur péché dans la période allant de l’interpellation de la prévenue à sa condamnation au matin du 11 décembre dernier. Et à supposer même que les nommés Gbadamassi, Sado et Sanni aient réellement pris contact avec Réckya Madougou pour prendre 70 millions afin de lui vendre leur parrainage. L’ont-ils fait? L’objet de la supposée transaction a-t-il été réalisé ? Quelle disposition de la loi électorale ou du code de procédure pénale de notre pays, interdit les négociations pour conclure le parrainage ?
Kohoué et Soumanou Djimba n’ont-ils pas négocié pour avoir le nombre de papiers exigés ? En quoi si démarches il y avait eue avec les députés, feraient aujourd’hui objet d’une assise judiciaire ?
Réckya Madougou a-t-elle été jugée pour ce qui relève du légal ou de l’illégal? Pourquoi fonder sa ligne de défense de mauvais perdants sur la comparution des trois députés ?
Curieux que ces pseudos communicants ne puissent par apprendre de leurs erreurs séculaires. Laissez Gbadamassi, Sado et Sanni pour réfléchir à trouver les moyens pour sortir la pauvre de l’enfer.
Elle n’a plus, de mon point de vue, la tête à polémiquer pour polémiquer. Elle veut simplement rejoindre sa famille, ses enfants. Quelqu’un a dit que : CE N’EST PAS LA CONSCIENCE QUI DÉTERMINE LA VIE MAIS PLUTÔT LA VIE QUI DÉTERMINE LA CONSCIENCE.
Réckya Madougou n’est plus au niveau de conscience de faire le procès à des députés qui n’étaient pas ses juges. Elle veut maintenant rejoindre la place qui devrait être sienne aux côtés de ses enfants.
‘’Sciençons’’ maintenant et quittons la bêtise et les grimaces de mauvais perdants qui cherchent toujours à faire croire à la pensionnaire de Missérété qu’on travaille pour elle.
Bon, Gbadamassi et les autres ont alors pris 07 milliards de dollars. Condamnons-les alors à la réclusion criminelle à perpétuité pour votre moral !!! Pouah!
Cette image pour vous prier d’aller faire l’amour pour éviter de tomber dans les liens d’une guerre inutile et veine. J’ai un problème de vision. J’ai plus mes lunettes.