Finir avec le chômage en favorisant la transformation locale des richesses naturelles béninoises (coton, noix de cajou, ananas…). C’est ce que veut le gouvernement béninois en prenant à cœur la transformation locale de ces richesses naturelles. Cela va non seulement soulager les jeunes chômeurs mais aussi contribuer à l’industrialisation du Bénin.
En effet, après mai 2022, où 1103 candidats avaient été recrutés pour l’industrie du textile, cette fois-ci, ce sera le tour de 1000 jeunes d’être recrutés dans les prochains jours, pour la fabrication de l’huile d’anacarde , du charbon bio et des biscuits à base du Cajou.
Cette annonce de nouvelles recrues de la GDIZ a été faite par Laurent Gangbes, Directeur général de l’Agence de promotion des investissements et des exportations (APIEX). C’était au cours de l’émission « L’Angle Eco » du lundi 17 octobre dernier sur la télévision nationale.
La nouvelle vague de recrutement va lancer les activités de production de la première industrie de transformation des noix de cajou au Bénin. Ceci, grâce aux machines de transformation des noix d’acajou.
Il faut souligner qu’au cours de cette transformation, les produits seront extraits des déchets de la coque de noix de cajou, une usine de bio charbon transformera les déchets de coquilles de noix de cajou en bio charbon, et une usine fabriquera des confiseries et des biscuits à partir de noix de cajou. Avec toutes ces réussites futures, la GDIZ sera le premier écosystème intégré de noix de cajou en Afrique.
Vignon Justin ADANDE