(Il serait financé par un proche parent de Sébastien Ajavon)
Mille jours pour le voleur, un seul pour le propriétaire. Longtemps aux anges parce qu’à l’abri de toute menace d’être arrêté, le sieur Akpolou Boniface pouvait narguer tout le monde. Il était le champion de l’opposition stérile et incapable. Il était en territoire conquis et pouvait traiter le chef de l’État de tous les noms d’oiseaux comme cela a été récemment le cas avec le général Fructueux Gbaguidi. Cet individu qui travaillait et est proche de trois patrons de presse de la place dont l’un est actuellement en prison dans une affaire de droit commun, était vraiment intouchable. Mais c’était sans compter avec la conviction du Dgpr, le général Yaya qui a le génie de placer à la tête de certaines structures de la police, des jeunes dévoués près à se sacrifier pour la république.
Aujourd’hui, la ruse et la cavale du sieur Akpolou Boniface, sont arrivées à leur fin. Ce journaliste de circonstance qui fabrique le pseudo journal « Aujourd’hui au Bénin » à été arrêté puis jeté en prison pour répondre de ses actes.
Le général Fructueux Gbaguidi et le président Djogbénou sont réellement les enfants de leur papa. Ce sont leurs plaintes qui ont mis le commissaire Sokou, patron du Centre national d’investigations numériques (CNIN) ayant remplacé l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC), sur les traces du voyou. Lequel avait insulté gratuitement aussi votre humble serviteur, se cachant sur son fameux pseudonyme et qui, il faut le rappeler, créait des problèmes à notre confrère américain, Steven Lemon, en usurpant son journal. Maintenant, du « le CQ », c’est fini. Et c’est en même temps une sorte de mise en garde contre tous ceux-là qui pensent que l’impunité a encore de beaux jours devant elle.
Ils seront arrêtés avec leurs complices et commanditaires.
Aboubakar TAKOU