Accablée par des preuves matérielles irréfutables sur dénonciation de ses complices, notre compatriote dont l’honorable Rachidi Gbadamassi et Charles Toko, dénonçaient les manœuvres, Reckya Madougou, vient de tomber aussi facilement qu’un profane dans une entreprise terroriste, dans les mailles du filet.
La police n’a même sué plus de deux gouttes de sueur avant d’établir ses liens avec ce que dénonçait une des probables victimes projetée dans le plan d’assassinat de certaines autorités, Rachidi Gbadamassi.
Le communiqué du parquet spécial de la Criet, est, on ne peut plus clair sur le modus operandi. Reckya Madougou a voulu faire migrer certaines recettes de sa seconde patrie mais mal lui en a pris.
La Rupture était aux aguets pour sécuriser le peuple béninois. Et comme je le disais ici, quelques heures plus tôt, quand ça devient une affaire terroriste à la Criet, c’est minimum 20 ans.
Rappelons qu’il ne s’agit pas ici d’une affaire politique. Il s’agit bel et bien d’une affaire de projet d’assassinats de personnalités de premier rang pour semer la peur dans la tête des Béninois.
C’est le lieu pour la compatriote en difficultés de voir combien sont prêts aujourd’hui à mourir pour elle. En dehors des agitations virtuelles et stériles sur les réseaux sociaux, je me demande combien sont ces activistes qui parlaient d’interpellation d’une femme, à descendre dans la rue pour aller sauver leur patronne.
Encore que les dispositions sont en cours pour faire répondre chaque web-activiste, de ses écrits et position qui entraveraient l’ordre public.
La distance n’est même plus dans ce cas, une soupape de sûreté. Avis donc à ceux qui ont le don de jouer aux fous « Atotonon »: très violents et Résistants devant un clavier, mais moins qu’une mouche castrée en réalité.
Sortez maintenant! Le pays est géré. C’est Gbadamassi qui avait raison.