Pour la deuxième année consécutive, le Grand pèlerinage de l’Islam à la Mecque, le Hadj, en Arabie Saoudite se fera sans les pèlerins venant des autres pays. Une exclusion qui se justifie par mesure de prévention ou limitation des risques de propagations de la pandémie Covid-19 qui depuis 2020 ceint le mode entier et ne fait que chambouler l’organisation d’événements à travers le monde.
Comme l’année passée donc, seuls les locaux c’est-à-dire les personnes résidentes e Arabie seront autorisées à y prendre part. Au total, ils seront 60.000 résidents vaccinés contre le coronavirus à avoir l’autorisation d’effectuer le Hadj 2021 à La Mecque.
Doc, contrairement aux 2,5 millions pèlerins du monde entier comme en 2019, la pandémie de Covid-19 a contraint le royaume à limiter le nombre à 60.000 résidents et vaccinés contre la Covid-19. Mieux, selon, un communiqué ministère du ministère du Hadj relayé par SPA, « ceux qui voudront effectuer le hadj devront avoir entre 18 et 65 ans, ne pas souffrir d’une maladie chronique et avoir été vacciné.»
Voilà une information qui corroborer la mise en garde du ministre des affaires étrangères et de la coopération, président du comité d’orientation et de supervision du Hadj, contre ces personnes qui se présentant comme des responsables de sociétés agréées pour les prestations d’assistance aux pèlerins, à travers un communiqué N°361/Maec/Dc/Daxc/Ctj/Sp-Hadj/Ass en date du 045 juin 2021.
Avec ce choix des autorités saoudiennes de limiter le Hadj aux locaux, le gouvernement Talon semble avoir vu juste avec cette décision de mise en garde. Car dit-on, gouverner, c’est prévoir.
AY
