(Voici les grands defis qui attendent l’Alliance)
une nouvelle ère de collaboration et de progrès pour l’Alliance des États du Sahel.
Créée en septembre dernier, l’Alliance des États du Sahel (AES) a tenu son premier Sommet des États de l’Alliance des États du Sahel (AES). A l’issue des travaux, le président malien Assimi Goïta a été élu président de l’organisation pour un mandat d’un an.
Dans son discours, le président malien Goïta a présenté ses ambitions conformément aux idéaux de l’Alliance. A en croire le tout nouveau président, l’AES prévoit de promouvoir l’interconnexion des infrastructures, notamment les routes, les compagnies aériennes et les industries extractives. Ces initiatives sont destinées à stimuler le développement économique et à améliorer la mobilité des biens et des personnes au sein des pays membres.
Il a aussi ajouté que cette coopération renforcée doit permettre d’accroître les échanges commerciaux et de soutenir la croissance économique, contribuant ainsi à la stabilité et à la prospérité de la région. La présidence de Goïta sera scrutée de près, car elle symbolise l’engagement des États membres à travailler ensemble pour un avenir meilleur pour leurs populations.
L’AES, composée du Burkina Faso, du Mali et du Niger, vise à renforcer les relations entre ces pays dans le but de garantir la sécurité alimentaire, l’indépendance économique et monétaire. Cette alliance stratégique est cruciale pour faire face aux nombreux défis auxquels la région est confrontée, notamment l’insécurité et les crises humanitaires.