« La justice est la vérité en action », a dit Joseph Joubert. Et ce qui s’est révélé avec le Togolais Olivier Hila Kodzo Amela traduit en justice dans différents dossiers par des individus et des sociétés comme Biic et Coris Bank. Ces derniers convaincus qu’il était dans le faux, l’ont traîné à travers les cours et tribunaux croyant pouvoir avoir raison.
Olivier Hila Kodzo Amela qui n’avait pas de bras longs et la puissance financière des adversaires a été traîné par-ci par-là. Et pourtant, Dieu s’est rangé de son côté en démontant les dossiers à charge ou en démontrant leur caractère non-sérieux. En d’autres termes, il a tout simplement triomphé de ses adversaires qui étaient décidés à le plonger, et surtout à ternir son honorabilité.
L’extrait de jugement N°381-1Fd du 02 août 2022 et l’attestation de non-appel de la cour d’appel du tribunal de première instance de première classe de Cotonou illustrent aisément que ces plaignants se trompent sur Olivier Hila Kodzo Amela. Et comme cela ne suffisait pas, c’est l’institution judiciaire la plus crainte du pays, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) qui a pris une décision en sa faveur. En effet, alors que ses adversaires croyant avoir trouvé le moyen de le crucifier et l’enterrer du côté de Missérété, c’est cette même Criet qui s’est déclarée incompétente dans son dossier d’escroquerie.
Voilà qui devrait amener les gens à changer leur image de Olivier Amela qu’ils voyaient comme l’incarnation du mal. Avec ces décisions de la Cour d’appel de Cotonou et de la Criet, les plaignants vont désormais se ranger et laisser Olivier Amela respirer tranquillement. Quand Dieu est de votre côté, on a beau vous noyer, tout concourt à vous sauver.