Interrogé, le locataire de la prison de Missérété s’est étonné de voir cette annonce. Il a naïvement demandé que ses proches lui trouvent le journal pour qu’il découvre le contenu. C’est alors que ses amis lui ont dit que ce n’était pas un journal mais juste une fabrication comme on en découvre aujourd’hui dans la presse avec l’avènement des réseaux sociaux.
Il a aussitôt soupçonné une main invisible de certains qui voudraient corser sa détention et mettre en difficulté tous ceux qui pourraient tenter de plaider pour son rêve de se retrouver dehors proche de ses enfants.
Le but de telles manœuvres a souvent été de lancer une invention pour obliger d’éventuels intervenants pour la libération de quelqu’un qui se trouve en difficulté, à se mettre loin, à l’écart. Et comme cela ne peut passer dans un journal, un site, on le confie à un truc sans existence légale et sans forme, de lancer la manœuvre.
Et puisque la régulation de ce secteur échappe totalement à la Haac, les populations ont encore le malheur de subir ses attaques sur plusieurs années. Mais il semble que tout est actuellement mis en place pour intéresser, rapprocher les auteurs de ces agissements afin de les mettre hors d’état de nuire.
À défaut de la Haac, le procureur de la république saisi a juré de garantir la sécurité des populations victimes de ces monstres. Donc, les auteurs ne tarderont pas à reprendre les chemins du lieu d’où ils ne devraient jamais sortir.
À suivre !
Pauline Zambo