Pourquoi continuer à leur demander des cotisations et souscriptions volontaires pour des activités programmées alors qu’on sait qu’en l’état actuel de la procédure au tribunal, les nouveaux responsables qui se sont illégalement installés à la tête de la MEF Int Bénin, ne peuvent plus poser certains actes?
La réponse est toute trouvée par les fidèles de cette Mission : Les caisses de la Mission sont déjà vides. Contrairement au Pasteur Fondateur Augustin Sossa, les nouveaux rois comme des rapaces se sont goulument servis dans la caisse principale. Les mêmes fidèles accusent aussi le premier responsable qui issu de la crise savamment orchestrée depuis 2018 pour arriver à la séance dite extraordinaire du 15 octobre 2019 en violation flagrante des dispositions statutaires régissant le fonctionnement de la Mission, se serait doté d’une voiture Toyota 4×4 avec les revenus de la Mission.
Conséquence, et en attendant qu’il achète d’autres véhicules pour ses acolytes, il faut renflouer les caisses. Et il n’y a pas mieux que cette trouvaille de faire croire aux fidèles de la tenue de séminaires après que la justice a interdit la Convention annuelle pour laquelle des fidèles avaient sué des dizaines de millions sans justificatifs.
Pris en tenailles par les nouveaux maîtres dans cette affaire de séminaires où il faut encore cotiser, ces fidèles demandent des comptes à NOUKOUNYEFLIN et ses amis du gang, des faussaires de l’Église, de leur faire la lumière sur la gestion des dizaines de millions que le Pasteur fondateur Augustin Sossa a laissé dans les caisses avant de subir la bestialité de leur ruse contre son ministère.
Depuis quelques jours, c’est la débandade et certains proposent déjà qu’ils mettent tout pour s’attirer la faveur des juges de la Cour d’appel qui va statuer sur le forfait devant la justice. Car l’évidence les expose d’une part à un cinglant désaveu qui va ouvrir le contrôle des quelques mois de gestion qu’ils ont faite des sous laissés par le propriétaire de la Mission.
Tous les coups sont donc permis. Et c’est pourquoi ils ont échafaudé mille plans à leur dernier conseil pour, d’une part intimider les médias et d’autre part mettre la pression sur la justice béninoise. Mais le mensonge aura beau emprunter l’ascenseur, la vérité qui a la patience des escaliers, finit toujours par s’imposer.
Affaire à suivre.
Aboubakar TAKOU