Renaissance = Démocratie + Libertés + Bonne Gouvernance. Ce n’est pas une simple formule, une recette prodigieuse pour faire décoller le Bénin. Les Gaulois tels que Astérix et Obélix parleront de Potion magique pour aller de l’avant. Depuis 2016, c’est ce que le président Talon a mis en place sans que cela ne soit dévoilé tout en réservant le choix aux Béninois de constater par eux-mêmes les résultats de ce qui se fait pour la transformation du Bénin.
Et aujourd’hui, après presque 5 ans de gestion du pouvoir d’État, ce sont les résultats que l’on voit même si certains tendent vaille que vaille de dire le contraire au lieu de se surpasser pour reconnaitre l’effort fait. Cet effort né d’une politique rigoureuse et de contrôle devrait accompagner au lieu de critiquer.
C’est pourquoi au cours de sa tournée tout en démontrant que la question du développement oubliée depuis les Indépendances, le président béninois n’a de cesse de demander aux Béninois de se battre aussi pour la bonne gouvernance et de dénoncer qui que ce soit lorsqu’il y a une once de mauvaise gestion quelque part au lieu que ça soit chaque fois et seulement pour la démocratie, les questions de liberté et de liberté de parole.
En somme, cette dialectique d’un Béninois nouveau soucieux du développement de son pays entre Patrice Talon et son peuple a été au rendez-vous à chaque étape de sa tournée, et comme on ne cesse de le dire, il n’y a pas meilleure école de bonne gouvernance que ces classes de Pèrèrè, N’Dali, Sinendé, Karimama, et Copargo.
Car, en posant les bases d’une gestion rigoureuse et efficiente de deniers publics avec à la clé une lutte farouche contre la corruption, le président Talon a fini par nous amener à savoir que la Renaissance du Bénin passe par le triptyque : Démocratie + Libertés + Bonne Gouvernance.
Une clé avec laquelle Talon s’ouvre le boulevard pour un second avec des populations acquises à cette dynamique carrément différente de celle qu’on utilisait depuis les indépendances.