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Alors que des établissements sont fermés dans la sous-région : L’école « Sainte Julie » plus qu’une destination sûre

À travers une correspondance en date du 8 octobre 2022, Le ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kassoum Mamane Moctar du Niger a décidé de fermeture de certaines écoles privées dans les filières de santé à savoir : l’Institut Supérieur Privé des Paramédicaux (ISP/ Nightingale) de Gaya ; l’Institut International Privé de Santé (IIS) de Gaya; l’Ecole Privée d’Enseignement de Santé de Saraounia de Doutchi (IPESS) ; l’Institut Supérieur en Sciences de la Santé (ISESS) Madaoua ; l’Institut Privé des Sciences de la Santé (IPSS Florence Nightingale) de Balleyara et l’Ecole de Formation des Agents de Santé (EFAS) de Dosso.

Une fermeture qui devrait susciter davantage l’attention des parents d’élèves et d’étudiants à être plus vigilants et à s’informer plus sur les instituts et universités dans lesquels ils peuvent envoyer leurs enfants. Et comme au Niger, ce sont des décisions du genre qui sont prises dans la sous-région pour mieux orienter les apprenants vers ces instituts et universités offrant une formation de qualité dépoussiérée de toute défaillance.
Et c’est le cas de l’Ecole Privée de Santé Sainte Julie de Tenkodogo et celle de Ouagadougou. Des écoles de référence qui à travers une correspondance en date du 7 octobre 2022, ont reçu leur quitus des autorités burkinabé du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique pour procéder à des recrutements de nouveaux élèves dans les filières de Licence en Sciences Infirmières et Obstétricales (Lsio) pour la rentrée scolaire 2022-2023. En d’autres termes, il devient possible au promoteur de cette école de continuer à recevoir de nouveaux étudiants de niveau BAC du Burkina Faso comme de la sous-région.
Cette autorisation est la preuve de la qualité de la formation donnée à l’école Sainte Julie. Elle est aussi une reconnaissance des efforts consentis par le promoteur de cette école pour offrir une meilleure qualité de formation aux élèves et étudiants de la sous-région ouest-africaine dans les filières de santé.

Mieux, ce qui devrait encore rassurer les parents, c’est le fait que les écoles de formation en santé Sainte Julie bénéficient par ailleurs de l’accompagnement du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique. Quoi demander de plus quand les autorités vous reconnaissent et vous accompagnent à toujours aller de l’avant car fières de la qualité de vos formations ?

C’est donc une destination sûre pour les élèves et étudiants désireux de prendre part aux examens nationaux et d’obtenir des diplômes délivrés et authentifiés par l’État burkinabè. Et la validation régulière des diplômes des apprenants de l’école de santé Sainte Julie qui prennent part aux épreuves de certification nationale de Licence en sciences infirmières et obstétricales (Lsio) par la direction de la production des ressources humaines du ministère de la Santé, de l’Hygiène publique et du bien-être, est une preuve palpable du sérieux des Ecoles Privées de Santé Sainte Julie de Tenkodogo et de Ouagadougou.

A l’heure de la fermeture ailleurs, le choix du lieu de formation crédible est donc vite fait pour assurer un avenir prometteur à ses enfants.

AY

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