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Politique

Alors qu’on crie à l’arbitraire pour des arrestations à cause des actes de déstabilisation au Bénin : Pour moins que ça, on fout en prison au Togo

Le bilan en termes de sang versé, en termes de compatriotes assassinés par la France Afrique à travers le régime barbare, le régime de l’oligarchie militaro-clanique des GNASSINGBE dépasse de loin ceux qui sont tombés au Rwanda et on parle de génocide rwandais. C’est cela le bilan de l’indépendance du Togo de 1963 à nos jours. T

els sont, selon le site de RFI, les propos tenus dans une émission à l’occasion du 61ème anniversaire de l’indépendance du pays, par l’ancien ministre de la communication, Djimon ORE, membre de l’union des forces du changement, gardé à vue depuis jeudi dernier. A cause de ses propos jugés diffamatoires, il est retenu contre lui les charges suivantes : d’atteinte à l’honneur, de tentative de troubles aggravés à l’ordre public et d’outrage envers les représentants de l’autorité publique. Ce qui fait qu’il ne jouit plus de sa liberté car devant répondre de ces faits devant la justice.

Aujourd’hui, si c’était au Bénin, cela aurait suscité des toutes sortes de critiques et de commentaires de tout genre sans oublier une probable dénonciation du gouvernement. Surtout que pour plus grand que ça, on crie à l’arbitraire.

Si dans des autres pays, on arrête un ancien ministre, chef de parti, pour des propos tenus sur une émission, les Béninois doivent savoir raison garder car ici, les interpellations dont il est souvent question c’est pour des gens soupçonnés de planifier des actes de déstabilisation et autres. Actes loin de garantir la sécurité des personnes et biens pour une vie normale au sein des communautés. Laisser ces gens aller au bout de leur projet, n’est pas responsable, c’est pourquoi la justice se fait le devoir de prendre le devoir pour vite régler ces situations avant qu’il ne soit trop tard.

 En d’autres termes, il faut qu’on cesse de crier à l’arbitraire. Car pour tout projet de déstabilisation, aucun pays ne peut  Ancien président, ancien ministre, chef de parti, fonctionnaire, travailleurs, etc., sont égaux devant la loi et ce avec toutes les implications possibles. Ailleurs, pour peu que ça, c’est l’arrestation garantie.



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