« Il y a des pistes à explorer sans aller à la force militaire. » c’est ce qu’a proposé sa majesté Latchèhôlou Guidimandjègbè Agbantchekon, Roi d’Avrankou au chef d’Etat Patrice Talon, à la CEDEAO et à l’UEMOA qui ont pris la décisions d’une intervention militaire au Niger si Bazoum n’est réinstallé à son poste.
Il l’a fait savoir à travers une déclaration de presse sur la situation socio-politique au Niger.
Dans sa déclaration, il demande à la CEDEAO et au président Patrice Talon « de bien vouloir choisir une autre alternative pour le retour à l’ordre constitutionnel au Niger » ; il poursuit en se justifiant que « sinon, la position géographique, politique, ethnique et sociale du Bénin avec le Niger ne lui permet de de participer à un quelconque coup de force dans ce pays voisin. On n’en veut pour preuve, une partie des ressources humaines du Bénin est en terre nigérienne et vice-versa. C’est juste un rappel que nous faisons en notre qualité de garant de la tradition. »
Vignon Justin ADANDE