« La calomnie est un poison qui se répand vite, mais la vérité finit toujours par rétablir l’honneur. » dit-on. Et pour cause! La justice s’apprête à frapper fort contre les dérives sur les réseaux sociaux. Des administrateurs de forums et web-activistes sont désormais dans le viseur des autorités judiciaires pour des faits graves de harcèlement par voie électronique et de diffusion de fausses informations à l’encontre du Ministre conseiller Rachidi Gbadamassi.
Suite à une série de publications malveillantes sur les réseaux sociaux, accusant sans preuve le ministre conseiller Gbadamassi d’être impliqué dans des propos controversés récemment tenus par le Ministre AKPONNA, ses avocats ont décidé de réagir. Une plainte formelle a été déposée contre plusieurs individus identifiés comme étant les auteurs de cette campagne de diffamation orchestrée en ligne.
Dans des communiqués officiels, le gouvernement et le parti Bloc républicain ont clairement pris position et à aucun moment, le nom de Rachidi Gbadamassi n’a été mentionné ni directement ni indirectement dans les propos du Ministre AKPONNA. Cette clarification n’a pourtant pas suffi à freiner certains internautes malintentionnés, qui ont continué à répandre des allégations mensongères, engageant ainsi leur responsabilité pénale.
Une ligne rouge franchie : place à la justice
Bien que le ministre conseiller Rachidi Gbadamassi ait personnellement exprimé son souhait de ne pas poursuivre les auteurs, ses avocats, dans leur devoir de protection de l’image et de l’intégrité de leur client, ont jugé nécessaire de saisir la justice. Ils fondent leur action sur les dispositions légales relatives au harcèlement par voie électronique, à la diffusion de fausses nouvelles et à l’atteinte à l’honneur et à la réputation de leur client qui sans aucune preuve est la cible de ces personnes malintentionnées.
Les auteurs de ces publications toxiques seront bientôt convoqués par les autorités compétentes pour répondre de leurs actes. Ils devront apporter les preuves de leurs accusations, sans quoi ils s’exposent à des sanctions prévues par la loi.
Cette affaire marque un tournant dans la lutte contre les abus sur internet. Elle envoie un message clair à tous ceux qui pensent pouvoir se cacher derrière un écran pour calomnier, salir ou diffamer. La liberté d’expression ne protège pas le mensonge, ni la haine gratuite.
Le dossier est désormais entre les mains de la justice, et les premiers développements sont attendus dans les jours à venir. Affaire à suivre…