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Politique Société

Interdiction à un citoyen qui de surcroît est un chef de collectivité, de participer à une fête nationale : ZÉHÈ, UN PAUVRE JALOUX

(Dah Kini Dégbé lui a juste montré la voie de la sagesse en quittant la place publique)

ZÉHÈ et AFODJÈNOUKO n’ont pas encore fini de digérer leur début d’échec devant le tribunal contre DAH GANDAHO au sujet de la gestion du convent de Yami (Guèlèdé). Leur instruction cavalière et grotesque à Dah Gandaho de retirer l’action en justice contre eux ne pouvant pas être acceptée par leur victime qu’ils en veulent par pure jalousie, ils perdent les pédales à tout bout de champ pour tomber dans la bassesse. Leur bêtise à la fête nationale du Vodoun, illustre bien leur haine bestiale contre leur jeune frère qui ne leur donne pas certainement à bouffer en bon pigeon qu’ils le prennent.

Les faits:

Invité officiellement par les organisateurs de la fête du Vodoun dont DAH KÊLI ET DAH TÉÏTÉNON, DAH GANDAHO a répondu présent afin d’accompagner comme à ses habitudes, ses frères à la valorisation de nos rites et cultes endogènes. À sa grande surprise, il a constaté que dès son arrivée, ZÈHÈ et sa *suite ont menacé de partir et mettre fin à la fête, si DAH GANDAHO prend part à cette manifestation pourtant nationale.

Une attitude qui a révolté une grande partie de la population qui se demandait à juste titre s’il s’agit d’une fête royale ou d’une célébration de tous les fils et filles du Bénin et par ricochet de Covè.

 Car tout citoyen a droit de fêter et de participer à sa manière, à une fête nationale. Mieux, connaissant la mauvaise foi caractérisée des deux ennemis de la promotion des fils d’Agonlin, DAH GANDAHO s’est assis aux côtés des siens au milieu de la foule pour marquer de sa présence lesdites manifestations. Il n’est pas allé s’asseoir au sein des membres de la cour royale de Covè pour qu’on lui crache à la figure la vilénie des deux « présidents » de la république de Covè. Néanmoins, comme il voyait la furie des deux adeptes du diable, de gâter la fête, vu qu’une bonne partie des populations était prête à en découdre avec les deux, DAH GANDAHO KINI DÉGBÉ a décidé de se retirer. Par ce retrait, DAH GANDAHO a montré que la sagesse n’a pas d’âge  et a invité les siens au calme et à la sérénité tout en leur formulant ses vœux de bonne fête du 10 janvier.

Mais plusieurs questions restent posées et tourmentent les esprits : la participation à une fête nationale en l’occurrence celle du 10 janvier est-elle conditionnée à une autorisation d’un roi ?  Pourquoi empêcher un chef de collectivité de participer à cette fête endogène alors que ce dernier a contribué à l’organisation ?

 Qu’est-ce qui tourmente l’esprit de ZÉHÈ et AFODJÈNOUKO pour qu’ils se donnent à ce spectacle enfantin et digne d’un banditisme d’un autre âge?

Autant de questions auxquelles seuls les acteurs devant le tribunal de leur conscience respective pourront répondre. Pour le moment prions juste Dah Gandaho en dehors de sa sagesse manifeste, de se ruiner au besoin pour donner toute sa fortune à ces deux-là. C’est simplement ce qu’ils attendent pour se calmer. À moins que le verdict du tribunal de première instance d’Abomey vienne leur montrer la limite de leur pouvoir de petits chefs d’État de cette localité.

Quelques vidéos de sa présence sur les lieux

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