(Les mauvaises habitudes ayant la peau dure, c’est normal que les travailleurs refusent les réformes)
Le ministre des affaires étrangères, Olushegun Adjadi Bakari doit muscler son moral pour survivre à la campagne tricotée par le syndicat de son département. Un syndicat sous influence de l’une des ramifications les plus vicieuses de la galaxie Olivier Boko.
Car il est aujourd’hui face à trois grands fléaux qui se donnent la main et se baisent la bouche dans son ministère. Il s’agit en effet, de dame PARESSE des employés, de la résistance des mêmes travailleurs aux NOUVELLES RÉFORMES DE PERFECTIONNEMENT DE L’ADMINISTRATION et de l’ AIGREUR presque bestiale d’un bras de la pieuvre Olivier Boko, décidé à détruire toutes les bonnes actions de son ancien compagnon, Patrice Talon.
Il faut dire que le jeune ministre n’est pas trop chanceux. On ne peut même pas souhaiter ce cocktail blessant à son pire ennemi.
Des mesures contre la fuite des documents confidentiels
L’administration hostile aux réformes structurelles du président Talon, est la pire opposition au régime de la Rupture. Elle est bien loin de celle du parti Les Démocrates (LD) et de ses satellites. L’une des armes utilisées par cette opposition aux réformes essentielles au développement, étant la divulgation des documents secrets de l’administration, il importe pour les responsables nommés, de prendre des mesures ardues pour freiner la propagation de ce nouveau virus.
La fouille des téléphones de quelques suspects par l’organe étatique, le Centre national d’investigation numérique (Cnin) sur injonctions de la Criet, relève du droit. D’autant plus que ce n’est ni le ministre encore moins, des amis qu’il aurait appelés, qui ont opéré la fouille des téléphones. Il aura fallu cette opération républicaine au profit de la rétention des fuite de documents, pour que le syndicat autrefois républicain, sorte ses crocs pour hurler. Le but évident étant de faire peur au jeune ministre tout en faisant croire que ces hurlements seront entendus par le chef de l’État au profit de la meute. Mais c’est mal connaître Olushegun Adjadi Bakari. Tant qu’il est sur la voie tracée par son chef, le jeune polyglotte tiendra toujours à ses résultats : sa mission.
Et ce ne sera ni des écrits payés dans les médias encore moins les menaces de gris-gris qui feront changer d’avis à cet adepte de la rigueur positive du président Talon. Les travailleurs ont donc intérêt à entrer dans les rangs pour avoir la chance d’être décorés pour les loyaux services qu’ils auraient rendus à la Nation.
Aboubakar TAKOU