Poursuivis pour harcèlement par voie électronique, ils sont au nombreux de sept prévenus dont trois sans mandat qui ont plaidé non coupable.
En effet, il s’agit d’un poste sur les réseaux sociaux qui déclarait que le chef d’état-major le Général Fructueux Gbaguidi était placé en résidence surveillée, laquelle information a été démentie par l’intéressé et son ministre de tutelle Fortunet Nouatin sur Bip radio. Le procès est donc renvoyé au 4 Avril prochain.
Aïdath BIO PIBOU