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Sport

Lancement de la 3ème édition du tournoi ‘Ma Jeunesse’ : Avec le soutien de Akponna, l’He Anignikin offre un tremplin à la jeunesse locale

La troisième édition du tournoi « Ma Jeunesse » a ouvert ses portes ce week-end à Dassa-Zoumè dans une ambiance de ferveur collective. Porté par l’honorable Claude Anignikin, éminent cadre du Bloc Républicain, l’événement transcende le sport pour devenir un symbole de cohésion sociale. Malgré son absence, l’ancien ministre Paulin Akponna y apporte un soutien inconditionnel, soulignant l’unité derrière cette initiative philanthropique.

Une ouverture en liesse et en symboles
Sous les acclamations des communautés d’Akofodjoulé, Soglogbo et Gbaffo, le tournoi a débuté par un match nul (1-1) entre Akofodjoulé et Gbaffo, résumant l’esprit d’équité voulu par son promoteur. Entouré de personnalités comme Benoît Degla (parrain), Georges Kpokame et Jislain Gnanhossou, Claude Anignikin a lancé cette édition avec un message fort : « Ce n’est pas qu’un jeu, c’est l’avenir de notre jeunesse qui se construit ici. »

Anignikin, l’architecte du bonheur juvénile
Surnommé « le Père de la Jeunesse », l’élu de la 9ᵉ circonscription consolide sa vision philanthropique à travers ce mécénat annuel. Son engagement dépasse largement le cadre sportif : le tournoi agit comme un creuset où se mêlent talents locaux, fair-play et aspirations communes. « Ma Jeunesse » valorise l’identité communautaire et offre aux jeunes un espace d’expression, faisant d’Anignikin un « bâtisseur de la Dassa-Zoumè moderne », selon les témoignages locaux.

Le soutien invisible mais essentiel de Paulin Akponna
Si l’ancien ministre n’était pas physiquement présent, son soutien à l’initiative reste un pilier invisible. « Même absent, Paulin Akponna demeure un soutien de taille et inconditionnel », rappelle une des personnalités présentes. Ce détail n’est pas anodin : il illustre la persistance des liens au sein du Bloc Républicain, transformant le tournoi en symbole d’apaisement après les récentes tensions internes.

Une catharsis sociale aux multiples visages
Loin des simples matches de football, le tournoi se mue en laboratoire d’épanouissement collectif :

  • Cohésion territoriale : Il fédère trois arrondissements souvent isolés.
  • Reconnaissance des talents : Les rencontres révèlent des jeunes avides d’opportunités.
  • Héritage durable : Anignikin y inscrit « l’espoir d’une jeunesse unie », selon les mots des spectateurs.

Alors que la troisième édition s’annonce riche en émotions, le tournoi « Ma Jeunesse » consacre Claude Anignikin comme un pionnier du développement local. Son initiative, soutenue discrètement mais fermement par des figures comme Akponna, prouve que le sport peut être un ciment social. Dans une région où la jeunesse cherche des repères, Anignikin offre plus qu’une compétition : une promesse d’avenir collectif.

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